Dans le cadre de la reprise de sa coopération avec les institutions de Bretton Woods, la Côte d’Ivoire a bénéficié de la Banque Mondiale, d’un don de 13 millions de dollars US soit environ 6,5 milliards de FCFA pour mettre en œuvre un projet dénommé Don de Gouvernance et de Développement Institutionnel (DGDI). Ce projet a pour objectif d’aider le gouvernement à mettre en œuvre des reformes dans trois secteurs clés de l’économie ivoirienne à savoir les finances publiques, le secteur pétrolier en amont et le secteur café/cacao.
Aussi, pour plus d’efficacité dans la mise en œuvre de cet important projet pour la Côte d’Ivoire, l’Unité de Coordination du Projet (UCP) a organisé le 4 et 5mai 2009, à Abidjan, un séminaire d’appropriation pour créer l’alignement nécessaire de tous les acteurs du projet par rapport à la logique d’intervention du projet et aux conditions de mise en œuvre.
Ainsi, au cours de ces deux jours de travaux qui a enregistré la participation de plus d’une quarantaine de hauts cadres issues du Ministère de l’Economie et des Finances, du Ministère des Mines et de l’Energie, du Ministère de l’Agriculture, du Ministère du Plan et du Développement, du Ministère de la Communication ainsi que de l’unité de Coordination du Projet DGDI, le cadre réglementaire et juridique ainsi que le cadre opérationnel ont été passés en revue par les séminaristes.
A la cérémonie d’ouverture, M. Koffi Ahoutou Emmanuel, Directeur de Cabinet du Ministre de l’Economie et des Finances et président dudit séminaire a tenu à rappeler les enjeux du DGDI pour la Côte d’Ivoire et exhorter les acteurs à se l’approprier et s’impliquer activement dans sa mise en œuvre car dira t-il, « Le DGDI contribuera à mettre en place les conditions à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative pour la réduction de la dette des Pays Pauvres Très Endettés (PPTE) et partant, à la mise en place des conditions de la relance économique post crise et d’une lutte efficace contre la pauvreté. »
Rappelons que le Don de Gouvernance et de Développement Institutionnel (DGDI) s’inscrit dans le prolongement de la revue conjointe PEMFAR qui a évalué les systèmes de gestion des finances publiques et de passation des marchés, aux fins de permettre à la Côte d’Ivoire de retourner à l’orthodoxie financière dans la formulation, l’adoption et l’exécution du budget, le contrôle interne et externe ainsi que le reporting. De même, ce projet entre dans le cadre de l’appui institutionnel à apporter au gouvernement ivoirien pour conforter la crédibilité de la Côte d’Ivoire en tant que nation respectant les standards internationaux en matière de transparence dans la gestion des ressources publiques.
Cet important projet dirigé par Mme Yao Madeleine, se décline en trois objectifs majeurs : le renforcement de la gestion des finances publiques pour contribuer à l’amélioration de la transparence et l’efficacité dans la gestion des finances publiques ; le renforcement de la capacité de gestion du secteur pétrolier afin de maximiser les revenus pétrolier et gérer les impacts sociaux et environnementaux et enfin, l’établissement d’un cadre institutionnel ,légal et réglementaire transparent et adéquat pour la filière café/cacao et ce, pour aider la Côte d’Ivoire à maintenir son leadership sur le marché international et permettre aux producteurs de tirer une part substantielle des revenus de sa production.
Source : DGDI
Aussi, pour plus d’efficacité dans la mise en œuvre de cet important projet pour la Côte d’Ivoire, l’Unité de Coordination du Projet (UCP) a organisé le 4 et 5mai 2009, à Abidjan, un séminaire d’appropriation pour créer l’alignement nécessaire de tous les acteurs du projet par rapport à la logique d’intervention du projet et aux conditions de mise en œuvre.
Ainsi, au cours de ces deux jours de travaux qui a enregistré la participation de plus d’une quarantaine de hauts cadres issues du Ministère de l’Economie et des Finances, du Ministère des Mines et de l’Energie, du Ministère de l’Agriculture, du Ministère du Plan et du Développement, du Ministère de la Communication ainsi que de l’unité de Coordination du Projet DGDI, le cadre réglementaire et juridique ainsi que le cadre opérationnel ont été passés en revue par les séminaristes.
A la cérémonie d’ouverture, M. Koffi Ahoutou Emmanuel, Directeur de Cabinet du Ministre de l’Economie et des Finances et président dudit séminaire a tenu à rappeler les enjeux du DGDI pour la Côte d’Ivoire et exhorter les acteurs à se l’approprier et s’impliquer activement dans sa mise en œuvre car dira t-il, « Le DGDI contribuera à mettre en place les conditions à l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative pour la réduction de la dette des Pays Pauvres Très Endettés (PPTE) et partant, à la mise en place des conditions de la relance économique post crise et d’une lutte efficace contre la pauvreté. »
Rappelons que le Don de Gouvernance et de Développement Institutionnel (DGDI) s’inscrit dans le prolongement de la revue conjointe PEMFAR qui a évalué les systèmes de gestion des finances publiques et de passation des marchés, aux fins de permettre à la Côte d’Ivoire de retourner à l’orthodoxie financière dans la formulation, l’adoption et l’exécution du budget, le contrôle interne et externe ainsi que le reporting. De même, ce projet entre dans le cadre de l’appui institutionnel à apporter au gouvernement ivoirien pour conforter la crédibilité de la Côte d’Ivoire en tant que nation respectant les standards internationaux en matière de transparence dans la gestion des ressources publiques.
Cet important projet dirigé par Mme Yao Madeleine, se décline en trois objectifs majeurs : le renforcement de la gestion des finances publiques pour contribuer à l’amélioration de la transparence et l’efficacité dans la gestion des finances publiques ; le renforcement de la capacité de gestion du secteur pétrolier afin de maximiser les revenus pétrolier et gérer les impacts sociaux et environnementaux et enfin, l’établissement d’un cadre institutionnel ,légal et réglementaire transparent et adéquat pour la filière café/cacao et ce, pour aider la Côte d’Ivoire à maintenir son leadership sur le marché international et permettre aux producteurs de tirer une part substantielle des revenus de sa production.
Source : DGDI