La caravane de la campagne petite monnaie fait son petit bonhomme de chemin. Après Bassam, avec le corps préfectoral au NSah hôtel, à l’occasion d’un atelier, c’est au tour du ministère de la Fonction Publique et de l’Emploi de recevoir la caravane initiée par le Fonds national de lutte contre le sida (FNLS) dirigé par Mme Doffou Marguerite. Une occasion, selon Pr. Hubert Oulaye, ministre de la Fonction publique et de l’Emploi, pour lancer officiellement les activités du comité de lutte contre le sida de son département ministériel avec pour point focal Mme Téflan.
Mme Doffou a, comme elle le fait en pareille circonstance, expliqué l’objectif principal de la campagne petite monnaie qui est de permettre à la Côte d’Ivoire de financer par elle-même la lutte contre le sida et ainsi réduire sa dépendance vis-à-vis des financements extérieurs. “Nous cherchons à réussir sans attendre l’aide extérieure”, a-t-elle cité le chef de l’Etat, lors de son discours devant le ministre Hubert Oulaye. Elle a exhorté les travailleurs du ministère de la Fonction publique à se mobiliser en donnant au moins une pièce pour la lutte contre le sida. Car, affirme-t-elle, “le sida nous conduit à la mort sans distinction de race, de parti politique…”.
Message reçu 5 sur 5. Puis que le ministre lui-même a donné le ton en mettant dans la boîte à pièce une somme de 100.000 qui lui donne droit à un timbre de la même valeur. Ensuite, ses collaborateurs au niveau de son cabinet ont suivi son geste puis les autres travailleurs présents. Pour Hubert Oulaye, le sida est comparable à la drogue à la différence que c’est de façon volontaire qu’on se drogue alors que le sida se présente comme un piège pour les hommes et les femmes. “Ce qui fait que nul n’est à l’abri”, a-t-il reconnu. Poursuivant, il a fait remarquer que “là où l’ignorance frappe, le sida est là. Il faut attaquer le sida tant au niveau des jeunes que des adultes. L’opération petite monnaie permet à chaque ivoirien d’apporter sa contribution à la lutte contre le sida”.
Coulibaly Zié Oumar
Mme Doffou a, comme elle le fait en pareille circonstance, expliqué l’objectif principal de la campagne petite monnaie qui est de permettre à la Côte d’Ivoire de financer par elle-même la lutte contre le sida et ainsi réduire sa dépendance vis-à-vis des financements extérieurs. “Nous cherchons à réussir sans attendre l’aide extérieure”, a-t-elle cité le chef de l’Etat, lors de son discours devant le ministre Hubert Oulaye. Elle a exhorté les travailleurs du ministère de la Fonction publique à se mobiliser en donnant au moins une pièce pour la lutte contre le sida. Car, affirme-t-elle, “le sida nous conduit à la mort sans distinction de race, de parti politique…”.
Message reçu 5 sur 5. Puis que le ministre lui-même a donné le ton en mettant dans la boîte à pièce une somme de 100.000 qui lui donne droit à un timbre de la même valeur. Ensuite, ses collaborateurs au niveau de son cabinet ont suivi son geste puis les autres travailleurs présents. Pour Hubert Oulaye, le sida est comparable à la drogue à la différence que c’est de façon volontaire qu’on se drogue alors que le sida se présente comme un piège pour les hommes et les femmes. “Ce qui fait que nul n’est à l’abri”, a-t-il reconnu. Poursuivant, il a fait remarquer que “là où l’ignorance frappe, le sida est là. Il faut attaquer le sida tant au niveau des jeunes que des adultes. L’opération petite monnaie permet à chaque ivoirien d’apporter sa contribution à la lutte contre le sida”.
Coulibaly Zié Oumar