Les élèves membres de la coordination locale de la Fédération estudiantine et scolaire de Côte d'Ivoire (FESCI), conduits par leur coordonnateur régional, Ouattara Ibrahim, ont décidé de faire œuvre utile à travers la ville d'Aboisso. Ils ont mis le week-end passé à profit pour nettoyer ou débroussailler différents services publics et parapublics. Les élèves, au nombre d'une centaine, se sont scindés en plusieurs groupes, pour travailler concomitamment. Ainsi ont-ils débroussaillé la cour du centre hospitalier régional (CHR) et les alentours de la maison d'arrêt et de correction. La cour de la mairie et les alentours de la préfecture ont été également assainis. Ils ont également récuré les caniveaux situés non loin du commissariat et de la préfecture de police. Selon le secrétaire à l'organisation, Koné Daouda, il s'agit, à travers cet acte social de lutter contre l'insalubrité publique, de montrer que la FESCI peut faire œuvre utile, tout en donnant dos à la violence qui ternit son image.
“Nous voulons aussi sensibiliser les parents sur la nécessité de préserver le milieu de vie et le lieu de travail propres”, a ajouté le secrétaire à l'organisation. Une nuit du maracana a été organisée pour se défouler un peu. Vingt trois (23) équipes masculines et féminines se sont affrontées de 20 heures à 8 heures du matin, le samedi 9 mai dernier. L'acte posé a été salué à sa juste valeur par les populations qui voyaient toujours l'organisation scolaire d'un mauvais œil. A Aboisso, on peut le dire, la FESCI a redoré son blason. Pour le moment.
Sam K.D.
“Nous voulons aussi sensibiliser les parents sur la nécessité de préserver le milieu de vie et le lieu de travail propres”, a ajouté le secrétaire à l'organisation. Une nuit du maracana a été organisée pour se défouler un peu. Vingt trois (23) équipes masculines et féminines se sont affrontées de 20 heures à 8 heures du matin, le samedi 9 mai dernier. L'acte posé a été salué à sa juste valeur par les populations qui voyaient toujours l'organisation scolaire d'un mauvais œil. A Aboisso, on peut le dire, la FESCI a redoré son blason. Pour le moment.
Sam K.D.