Le cinéma est l'art de réaliser des films. Il fut inventé par le Français Louis Lumière à la fin du 19 ème siècle. Au départ ce médium était muet, le spectateur pouvait voir les images sans entendre aucun son. C'est seulement en 1927 que l'on parlera de cinéma parlant où il y a la synchronisation du son et de l'image. En communication, le cinéma est comme la presse écrite, la télévision, la radio et la publicité. Il constitue un moyen stratégique pour diffuser un message. Conscient de l'importance de ce support, le Cheick Boikary a déclaré que le cinéma est un moyen très puissant pour s'affirmer. Car le chef de la révolution Bolchevique Lénine disait qu'il préférait le cinéma à mille livres. Ceci démontre bien de facto la place de choix de ce média pour notre société.
Après la deuxième guerre mondiale (1939-1945), le septième art fut l'arme de lutte de plusieurs nations pour répandre leur culture, voir imposé leur vision du monde, les USA en sont un exemple évocateur à travers sa célèbre ville cinématographique Hollywood. Le cinéma est aussi une industrie génératrice d'emploi dans un pays. L'Inde est le plus grand producteur de films cinématographiques dans le monde. La plus grande démocratie du monde produit au moins 1000 films par an. On peut également mentionner Le Festival de Cannes, fondé en 1946 sous l'égide de Jean Zay et appelé jusqu'en 2002 le Festival international du film, est devenu au fil des années le festival de cinéma le plus médiatisé au monde.
Chez nous en Afrique précisément au Burkina Faso, il y a le Festival Panafricain de Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO). Ce festival biennal a permis au pays des hommes intègres d'être aux avant-gardes du cinéma Africain. Et ce pays en profite avec le plus grand bien. Cette initiative est à féliciter car aujourd'hui son impact est perceptible. Elle a aidé à propulser la culture africaine à travers les productions cinématographiques du continent. Alors le cinéma peut apporter des changements dans la société comme dans une communauté religieuse en diffusant ses messages, ses enseignements et plus à permettre un épanouissement saint. Ce fut le cas lors de la grande première du film ''La part de l'Homme'' projeté le samedi 9 Mai au Complexe Zahara de Marcory. Au regard de cette grande première dans le cinéma ivoirien dans la communauté musulmane, il est donc important de réfléchir sur le cinéma islamique en mettant sur place un fond d'aide de soutien à la production cinématographique islamique. Cet avis de M. Koné Sombaga réalisateur de « la part de l'homme » doit être « l'opium des musulmans ».
Imposer une civilisation, une culture par la magie du cinéma, c'est opter pour une nouvelle manière de faire la da'awa.
“La Part de l'Homme'' est le titre du premier film musulman réaliser par Koné Sombaga et produit par M. Cissé Moctar, deux jeunes ivoiriens qui vivent dans l'hexagone. C'est le début d'une aventure qui certainement va susciter encore d'autres productions audiovisuelles et même à la création dans l'avenir proche d'une télévision islamique. Cette vision est partagée par le Président du Cosim, le Cheick Al Aïma Boikary Fofana.
Pour y arriver dixit un proverbe latin «Aud Augusta per Angusta» qui signifie, l'on ne parvient au succès qu'au prix de grands sacrifices. Il faut se donner les moyens de sa politique. Surtout que la foi descende dans les poches. N'est-ce pas ?
Haroun B & KM
Après la deuxième guerre mondiale (1939-1945), le septième art fut l'arme de lutte de plusieurs nations pour répandre leur culture, voir imposé leur vision du monde, les USA en sont un exemple évocateur à travers sa célèbre ville cinématographique Hollywood. Le cinéma est aussi une industrie génératrice d'emploi dans un pays. L'Inde est le plus grand producteur de films cinématographiques dans le monde. La plus grande démocratie du monde produit au moins 1000 films par an. On peut également mentionner Le Festival de Cannes, fondé en 1946 sous l'égide de Jean Zay et appelé jusqu'en 2002 le Festival international du film, est devenu au fil des années le festival de cinéma le plus médiatisé au monde.
Chez nous en Afrique précisément au Burkina Faso, il y a le Festival Panafricain de Cinéma et de la Télévision de Ouagadougou (FESPACO). Ce festival biennal a permis au pays des hommes intègres d'être aux avant-gardes du cinéma Africain. Et ce pays en profite avec le plus grand bien. Cette initiative est à féliciter car aujourd'hui son impact est perceptible. Elle a aidé à propulser la culture africaine à travers les productions cinématographiques du continent. Alors le cinéma peut apporter des changements dans la société comme dans une communauté religieuse en diffusant ses messages, ses enseignements et plus à permettre un épanouissement saint. Ce fut le cas lors de la grande première du film ''La part de l'Homme'' projeté le samedi 9 Mai au Complexe Zahara de Marcory. Au regard de cette grande première dans le cinéma ivoirien dans la communauté musulmane, il est donc important de réfléchir sur le cinéma islamique en mettant sur place un fond d'aide de soutien à la production cinématographique islamique. Cet avis de M. Koné Sombaga réalisateur de « la part de l'homme » doit être « l'opium des musulmans ».
Imposer une civilisation, une culture par la magie du cinéma, c'est opter pour une nouvelle manière de faire la da'awa.
“La Part de l'Homme'' est le titre du premier film musulman réaliser par Koné Sombaga et produit par M. Cissé Moctar, deux jeunes ivoiriens qui vivent dans l'hexagone. C'est le début d'une aventure qui certainement va susciter encore d'autres productions audiovisuelles et même à la création dans l'avenir proche d'une télévision islamique. Cette vision est partagée par le Président du Cosim, le Cheick Al Aïma Boikary Fofana.
Pour y arriver dixit un proverbe latin «Aud Augusta per Angusta» qui signifie, l'on ne parvient au succès qu'au prix de grands sacrifices. Il faut se donner les moyens de sa politique. Surtout que la foi descende dans les poches. N'est-ce pas ?
Haroun B & KM