La mauvaise gestion des ressources financières, humaines et les promesses non tenues sont les maux qui caractérisent la gestion du président du comité de gestion, Gilbert Ano après huit mois d'exercice.
Cela fait huit mois que Gilbert Ano été nommé président du comité de gestion de la filière café -cacao. Il avait pour mission de redorer l'image de la filière déjà ternie par de nombreuses malversations perpétrées pendant l'ère des présidents du Fonds de développement des producteurs de café -cacao (Fdpcc), Henri Amouzou et de la Bourse de café -cacao (Bcc), Lucien Tapé Doh ,de financer les coopératives légalement constituées et procéder à l'assainissement de la filière .Malheureusement, le messie de Laurent Gbagbo n'a pas répondu aux attentes des producteurs. L'espoir et la confiance placés en lui se sont volatisés dans les nuages .Le financement des coopératives tant attendu par les producteurs n'a pas été effectif. Conséquence, les coopératives ont eu du mal à fonctionner et à faire face à leurs difficultés.
Concernant le recensement, le processus n'a pas couvert tout le pays. Seulement, les coopératives du Sud-Est ont pu être répertoriées par le comité de gestion. Ce que les autres qualifient de frustration. Face à cette situation, les présidents crient leur ras - le-bol. M. Gilbert Ano est accusé par certains producteurs d'avoir utilisé , à ses propres fins, la subvention allouée aux coopératives. Pour eux, le président Gilbert Ano n'est pas un exemple en matière de gestion. .Ils réclament donc son départ. "Ano nous a rendus malheureux et mendiants. Il n'a aucune capacité à gérer les finances. L'homme nous a montré ses limites lorsqu'il a été appelé au secours de la Cidt. Malheureusement, Ano et les autres, c'est blanc bonnet - bonnet blanc. Pour nous les producteurs, il a échoué. Comment peut -on nommer une telle personne à la tête d' une filière aussi importante que le café-cacao. Grave ,son mandat a été renouvelé sans que son bilan ne soit présenté. Et tout cela a été cautionné par les présidents du comité de sages, Sansan Kouao et Bléoué Aka. Nous demandons au chef de l'Etat de nous rendre compte de la gestion d'Ano parce que c'est lui qui l'a nommé", ont t-ils martelé. Quoiqu'on dise le mal reste profond dans la filière.
Bahi Basile
Cela fait huit mois que Gilbert Ano été nommé président du comité de gestion de la filière café -cacao. Il avait pour mission de redorer l'image de la filière déjà ternie par de nombreuses malversations perpétrées pendant l'ère des présidents du Fonds de développement des producteurs de café -cacao (Fdpcc), Henri Amouzou et de la Bourse de café -cacao (Bcc), Lucien Tapé Doh ,de financer les coopératives légalement constituées et procéder à l'assainissement de la filière .Malheureusement, le messie de Laurent Gbagbo n'a pas répondu aux attentes des producteurs. L'espoir et la confiance placés en lui se sont volatisés dans les nuages .Le financement des coopératives tant attendu par les producteurs n'a pas été effectif. Conséquence, les coopératives ont eu du mal à fonctionner et à faire face à leurs difficultés.
Concernant le recensement, le processus n'a pas couvert tout le pays. Seulement, les coopératives du Sud-Est ont pu être répertoriées par le comité de gestion. Ce que les autres qualifient de frustration. Face à cette situation, les présidents crient leur ras - le-bol. M. Gilbert Ano est accusé par certains producteurs d'avoir utilisé , à ses propres fins, la subvention allouée aux coopératives. Pour eux, le président Gilbert Ano n'est pas un exemple en matière de gestion. .Ils réclament donc son départ. "Ano nous a rendus malheureux et mendiants. Il n'a aucune capacité à gérer les finances. L'homme nous a montré ses limites lorsqu'il a été appelé au secours de la Cidt. Malheureusement, Ano et les autres, c'est blanc bonnet - bonnet blanc. Pour nous les producteurs, il a échoué. Comment peut -on nommer une telle personne à la tête d' une filière aussi importante que le café-cacao. Grave ,son mandat a été renouvelé sans que son bilan ne soit présenté. Et tout cela a été cautionné par les présidents du comité de sages, Sansan Kouao et Bléoué Aka. Nous demandons au chef de l'Etat de nous rendre compte de la gestion d'Ano parce que c'est lui qui l'a nommé", ont t-ils martelé. Quoiqu'on dise le mal reste profond dans la filière.
Bahi Basile