Dans une récente déclaration, le Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) a réclamé la reprise des discussions sur la détermination de la nouvelle grille indiciaire des enseignants. Cela, selon Mesmin Komoé, secrétaire général de cette organisation, conformément à l’article 16 de l’arrêté interministériel no 9482 du 13 août 2008 portant dispositions transitoires d’application du décret no 2007-695 du 31 décembre 2007. Cette organisation syndicale déplore que jusqu’à ce jour aucun rendez-vous ne soit pris avec le MIDD pour discuter de la question, en dépit des assurances données par les pouvoirs publics. Pour éviter de paralyser pour la énième fois l’école ivoirienne, Mesmin Komoé invite le gouvernement à traiter avec diligence cette question d’intérêt général, selon lui.
Dans cette déclaration, il lance un appel au chef de l’Etat pour qu’il s’implique davantage dans la résolution de ce dossier, qu’il qualifie de sensible. A en croire le secrétaire général du MIDD, qui menace les pouvoirs publics de paralyser l’école ivoirienne, le refus de reconsidérer la proposition de 970 comme indice de départ de l’instituteur n’est pas négociable.
C.B.
Dans cette déclaration, il lance un appel au chef de l’Etat pour qu’il s’implique davantage dans la résolution de ce dossier, qu’il qualifie de sensible. A en croire le secrétaire général du MIDD, qui menace les pouvoirs publics de paralyser l’école ivoirienne, le refus de reconsidérer la proposition de 970 comme indice de départ de l’instituteur n’est pas négociable.
C.B.