La salle de conférences de la Chambre de commerce et d’industrie abrite, ce samedi, l’assemblée générale constitutive de la Conférence des producteurs audiovisuels de Côte d’Ivoire (Cpaci).
Cette cérémonie, placée sous le co-parrainage des ministres de la Communication, Ibrahim Sy Savané, de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, et des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, Hamed Bakayoko et sous la présidence effective du premier cité, sera l’opportunité pour les producteurs audiovisuels de fédérer leurs compétences et d’unir leurs voix dans la perspective amorcée de la libéralisation de l’espace médiatique télévisuel en Côte d’Ivoire. Libéralisation, du reste, défrichée au cours de l’atelier sur «L’évaluation des capacités des producteurs privés de programmes audiovisuels en Côte d’Ivoire», initié par le ministère de tutelle pour comprendre comment en 20 ans, la Côte d’Ivoire est passée de la position de leader africain dans ce secteur à celui de retardataire.
Le Syndicat ivoirien des producteurs privés audiovisuels (Sippa), présidé par Mamadou Toungara, l’Union nationale des structures audiovisuelles de Côte d’Ivoire (Unasaci), dirigée par Patricia Kalou, l’Union des maisons de production audiovisuelle de Côte d’Ivoire (Umaproci) de Philippe Monhin et le Syndicat des professionnels de l’audiovisuel de Côte d’Ivoire (Sypavci) que préside Alex Quassy, sont les principales organisations qui suscitent cette Conférence corporatiste, dénommée La conférence des producteurs audiovisuels de Côte d’Ivoire (Cpaci) . Qui, à en croire, M. Mamadou Toungara, président du Sippa, s’assigne 5 objectifs essentiels pour redynamiser la production audiovisuel.
Ce sera l’occasion pour ces derniers de s’organiser en opérateurs économiques, de définir leur statut.
Leur souhait est que l’Etat puisse créer un environnement qui leur permettre de s’épanouir en pratiquant une réduction sur la fiscalité de la production audiovisuel qui es une œuvre de l’esprit.
Pour ce qui est des relations entre producteurs et diffuseurs, ils entendent ainsi baliser le terrain pour revendiquer aux diffuseurs aussi bien locaux que privé, ce qui leur revient de droit à savoir les 0.50% du chiffre d’affaire de ceux-ci. Et veiller également à ce qu’une part de la grille de programme des diffuseurs leur soit concédée.
Conscient de leur lacunes face à la dynamisation du secteur, les producteurs envisagent mettre un accent particulier sur la formation. Ils demandent dans ce cadre au ministre de la Communication de veiller à la création d’école de production audiovisuelle
Remi Coulibaly et MCO
Cette cérémonie, placée sous le co-parrainage des ministres de la Communication, Ibrahim Sy Savané, de la Culture et de la Francophonie, Augustin Komoé, et des Nouvelles technologies de l’information et de la communication, Hamed Bakayoko et sous la présidence effective du premier cité, sera l’opportunité pour les producteurs audiovisuels de fédérer leurs compétences et d’unir leurs voix dans la perspective amorcée de la libéralisation de l’espace médiatique télévisuel en Côte d’Ivoire. Libéralisation, du reste, défrichée au cours de l’atelier sur «L’évaluation des capacités des producteurs privés de programmes audiovisuels en Côte d’Ivoire», initié par le ministère de tutelle pour comprendre comment en 20 ans, la Côte d’Ivoire est passée de la position de leader africain dans ce secteur à celui de retardataire.
Le Syndicat ivoirien des producteurs privés audiovisuels (Sippa), présidé par Mamadou Toungara, l’Union nationale des structures audiovisuelles de Côte d’Ivoire (Unasaci), dirigée par Patricia Kalou, l’Union des maisons de production audiovisuelle de Côte d’Ivoire (Umaproci) de Philippe Monhin et le Syndicat des professionnels de l’audiovisuel de Côte d’Ivoire (Sypavci) que préside Alex Quassy, sont les principales organisations qui suscitent cette Conférence corporatiste, dénommée La conférence des producteurs audiovisuels de Côte d’Ivoire (Cpaci) . Qui, à en croire, M. Mamadou Toungara, président du Sippa, s’assigne 5 objectifs essentiels pour redynamiser la production audiovisuel.
Ce sera l’occasion pour ces derniers de s’organiser en opérateurs économiques, de définir leur statut.
Leur souhait est que l’Etat puisse créer un environnement qui leur permettre de s’épanouir en pratiquant une réduction sur la fiscalité de la production audiovisuel qui es une œuvre de l’esprit.
Pour ce qui est des relations entre producteurs et diffuseurs, ils entendent ainsi baliser le terrain pour revendiquer aux diffuseurs aussi bien locaux que privé, ce qui leur revient de droit à savoir les 0.50% du chiffre d’affaire de ceux-ci. Et veiller également à ce qu’une part de la grille de programme des diffuseurs leur soit concédée.
Conscient de leur lacunes face à la dynamisation du secteur, les producteurs envisagent mettre un accent particulier sur la formation. Ils demandent dans ce cadre au ministre de la Communication de veiller à la création d’école de production audiovisuelle
Remi Coulibaly et MCO