Des représentants de l’ambassade du Royaume de Norvège et du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), avec les responsables de la commune, ont récemment visité à Port-Bouët, quatre des treize projets faisant l’objet de financement dans le cadre du projet pilote d’appui à la réinsertion des jeunes en période post-conflit en Côte d’Ivoire. L’objectif, se rendre compte des résultats tangibles des micro-projets mis en place. Notamment dans le domaine de la pêche, de l’élevage et de l’installation de vendeurs de produits cosmétiques et de couturières.
Sur le terrain, la délégation a constaté que les jeunes promoteurs des projets sont habités par une motivation forte pour les changements qu’ils apportent et qu’ils continuent d’apporter dans leur vie et dans celle de leurs communautés. Ainsi, à Vanou, 200 jeunes veulent-ils également bénéficier d’autres projets de pêche devant le fort potentiel d’un projet développé par 35 jeunes regroupés au sein de l’ONG France ivoire sang pour sang (FISS). A Gonzagueville, ce sont les 43 membres de l’Association des femmes battantes de Gonzagueville, investies dans l’élevage, qui veillent aujourd’hui sur 1319 pondeuses. Sur le même site, ils sont treize jeunes regroupés, eux aussi, dans l’Association des jeunes de Port-Bouët (AJEPB) à installer un élevage de pondeuses.
Les bailleurs de fonds ont aussi visité deux autres micro-projets consacrés à la vente de produits cosmétiques et un site d’installation de couturières en fin d’apprentissage. “Nous passons beaucoup de temps dans nos bureaux, et nous rentrons chez nous tard et fatigués. Mais quand nous voyons les résultats sur le terrain, nous nous disons que ce que nous faisons répond à quelque chose, répond à des attentes parce que ce sont des projets conçus par la base. Merci de nous avoir fait croire que demain est possible parmi les communautés les plus pauvres”, a reconnu à la fin de la visite André Carvalho, directeur pays du PNUD. Quant à M. Kjetil Schie, premier secrétaire de l’ambassade de Norvège, il s’est réjoui que les projets soient des idées des jeunes eux-mêmes et qu’ils soient aussi bien lancés. Il s’est surtout félicité de voir que la société ivoirienne investit dans les femmes.
Financé entièrement par le Royaume de Norvège à hauteur de 1.043.250 USD et mis en exécution par le PNUD, ce projet pilote cible 1 500 jeunes affectés par le conflit n’ayant toutefois pas participé au conflit armé ou jeunes à risques des régions du Sud (Abidjan) et du Centre (Bouaké). A Port-Bouët, 13 projets pour une somme totale de 96.299.740 FCFA ont été financés.
Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr
Sur le terrain, la délégation a constaté que les jeunes promoteurs des projets sont habités par une motivation forte pour les changements qu’ils apportent et qu’ils continuent d’apporter dans leur vie et dans celle de leurs communautés. Ainsi, à Vanou, 200 jeunes veulent-ils également bénéficier d’autres projets de pêche devant le fort potentiel d’un projet développé par 35 jeunes regroupés au sein de l’ONG France ivoire sang pour sang (FISS). A Gonzagueville, ce sont les 43 membres de l’Association des femmes battantes de Gonzagueville, investies dans l’élevage, qui veillent aujourd’hui sur 1319 pondeuses. Sur le même site, ils sont treize jeunes regroupés, eux aussi, dans l’Association des jeunes de Port-Bouët (AJEPB) à installer un élevage de pondeuses.
Les bailleurs de fonds ont aussi visité deux autres micro-projets consacrés à la vente de produits cosmétiques et un site d’installation de couturières en fin d’apprentissage. “Nous passons beaucoup de temps dans nos bureaux, et nous rentrons chez nous tard et fatigués. Mais quand nous voyons les résultats sur le terrain, nous nous disons que ce que nous faisons répond à quelque chose, répond à des attentes parce que ce sont des projets conçus par la base. Merci de nous avoir fait croire que demain est possible parmi les communautés les plus pauvres”, a reconnu à la fin de la visite André Carvalho, directeur pays du PNUD. Quant à M. Kjetil Schie, premier secrétaire de l’ambassade de Norvège, il s’est réjoui que les projets soient des idées des jeunes eux-mêmes et qu’ils soient aussi bien lancés. Il s’est surtout félicité de voir que la société ivoirienne investit dans les femmes.
Financé entièrement par le Royaume de Norvège à hauteur de 1.043.250 USD et mis en exécution par le PNUD, ce projet pilote cible 1 500 jeunes affectés par le conflit n’ayant toutefois pas participé au conflit armé ou jeunes à risques des régions du Sud (Abidjan) et du Centre (Bouaké). A Port-Bouët, 13 projets pour une somme totale de 96.299.740 FCFA ont été financés.
Robert Krassault: ciurbaine@yahoo.fr