Les boulangers et pâtissiers veulent savoir combien ils sont exactement en vue de faire des prévisions de développement du secteur. C’est la raison de l’opération du recensement qui va démarrer bientôt. L’information a été donnée par le délégué général de la Fédération interprofessionnelle des patrons et pâtissiers de Côte d’Ivoire (FIP-BPCI), Amadou Coulibaly, le vendredi 5 juin dernier, à Abidjan-Plateau, lors d’une conférence de presse coanimée avec le président François Ahuili. “Le recensement va nous permettre d’avoir une meilleure visibilité sur notre secteur afin de prendre les mesures de correction indispensables à la mise sur le marché de produits de meilleure qualité, d’améliorer nos services pour la satisfaction en qualité et en quantité de notre clientèle”, a déclaré Amadou Coulibaly. Il est convaincu que la qualité de la farine est testée chaque jour avant d’être mise sur le marché. Il demande à ses confrères de prendre toutes les dispositions nécessaires pour le recensement dans l’optique de combattre les personnes qui dénigrent la filière.
François Ahuili, pour sa part, a ajouté qu’il n’y a pas de farine de mauvaise qualité sur le marché. “Pour contribuer à la qualité, nous envisageons de mettre sur le marché les emballages de pain avec un code barre pour identifier l’origine du pain”, a-t-il annoncé. Il estime que le recensement va permettre de maîtriser tous les échanges du secteur, savoir l’origine de la farine, négocier la suspension de la patente, d’obtenir des réductions sur le prix carburant (DDO). Il propose que les opérateurs du secteur aient un registre de commerce, un compte contribuable et un siège avant de débuter leurs activités.
Gomon Edmond
François Ahuili, pour sa part, a ajouté qu’il n’y a pas de farine de mauvaise qualité sur le marché. “Pour contribuer à la qualité, nous envisageons de mettre sur le marché les emballages de pain avec un code barre pour identifier l’origine du pain”, a-t-il annoncé. Il estime que le recensement va permettre de maîtriser tous les échanges du secteur, savoir l’origine de la farine, négocier la suspension de la patente, d’obtenir des réductions sur le prix carburant (DDO). Il propose que les opérateurs du secteur aient un registre de commerce, un compte contribuable et un siège avant de débuter leurs activités.
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