L’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire travaille à l’avènement d’une paix durable et consensuelle, gage d’une cohésion sociale réussie.
Le Représentant spécial adjoint principal du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Abou Moussa, a exhorté, mercredi, la société civile ivoirienne à promouvoir les valeurs de tolérance, d’amour, de concorde et de coexistence pacifique.
Intervenant à Grand-Bassam au séminaire organisé par la mission sur «l’implication de la société civile ivoirienne dans la promotion de la culture de la paix et le renforcement de la cohésion sociale», M. Moussa a estimé que ce thème «nous aidera à trouver les voies et moyens pour relever le défis de la réunification et de reconstruction de la Côte d’Ivoire». Il a salué la vitalité de la société civile ivoirienne qui joue un rôle d’avant-garde et apparaît comme la planche de salut nécessaire pour permettre à la population de ne pas rester en marge du jeu politique et de l’activité économique.
Convaincu que la société civile est le porte-flambeau de la paix, préalable à tout développement, M. Moussa a rappelé que le séminaire visait à leur octroyer les outils techniques nécessaires pour faire comprendre le message de la paix. «Ce séminaire s’inscrit dans l’esprit du mandat de l’Onuci qui est d’apporter sa contribution à l’effort de paix en Côte d’Ivoire», a-t-il rappelé après avoir déclaré que la mission onusienne avait besoin d’une grande alliance pour atteindre ses objectifs dans ce sens.
Le député-maire de Grand-Bassam, Jean-Michel Moulod, lui, a exprimé sa satisfaction face au choix porté sur sa commune pour abriter le séminaire d’une telle envergure. Il a décrit sa cité comme un haut lieu pour les réflexions visant à relever les grands défis de développement de la Côte d’Ivoire, voire de la sous- région. C’est pourquoi, il a exhorté les participants au séminaire à être pour leurs communautés respectives, des Ambassadeurs munis des outils nécessaires pour une sensibilisation efficace à la culture de la paix.
Pour sa part, le préfet de Grand-Bassam, Bernard Gninah, a rappelé que la société civile constituait un des mailons essentiels et incontournables du processus de pacification du pays. Il a demandé aux participants de s’investir pleinement dans ce séminaire. Car, a-t-il dit, «étant mieux organisée, la société civile dans ce contexte de fracture sociale, contribuera à construire avec les autres acteurs de notre société, des pactes de stabilité et de cohésion sociale».
Une cinquantaine de membres de la société civile venus de la région des Lagunes, (Abidjan, Grand-Lahou, Jacqueville, Dabou) vont, durant deux jours, acquérir les outils nécessaires à la propagation de la culture de la paix et la cohésion sociale.
Source: Onuci
Le Représentant spécial adjoint principal du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Abou Moussa, a exhorté, mercredi, la société civile ivoirienne à promouvoir les valeurs de tolérance, d’amour, de concorde et de coexistence pacifique.
Intervenant à Grand-Bassam au séminaire organisé par la mission sur «l’implication de la société civile ivoirienne dans la promotion de la culture de la paix et le renforcement de la cohésion sociale», M. Moussa a estimé que ce thème «nous aidera à trouver les voies et moyens pour relever le défis de la réunification et de reconstruction de la Côte d’Ivoire». Il a salué la vitalité de la société civile ivoirienne qui joue un rôle d’avant-garde et apparaît comme la planche de salut nécessaire pour permettre à la population de ne pas rester en marge du jeu politique et de l’activité économique.
Convaincu que la société civile est le porte-flambeau de la paix, préalable à tout développement, M. Moussa a rappelé que le séminaire visait à leur octroyer les outils techniques nécessaires pour faire comprendre le message de la paix. «Ce séminaire s’inscrit dans l’esprit du mandat de l’Onuci qui est d’apporter sa contribution à l’effort de paix en Côte d’Ivoire», a-t-il rappelé après avoir déclaré que la mission onusienne avait besoin d’une grande alliance pour atteindre ses objectifs dans ce sens.
Le député-maire de Grand-Bassam, Jean-Michel Moulod, lui, a exprimé sa satisfaction face au choix porté sur sa commune pour abriter le séminaire d’une telle envergure. Il a décrit sa cité comme un haut lieu pour les réflexions visant à relever les grands défis de développement de la Côte d’Ivoire, voire de la sous- région. C’est pourquoi, il a exhorté les participants au séminaire à être pour leurs communautés respectives, des Ambassadeurs munis des outils nécessaires pour une sensibilisation efficace à la culture de la paix.
Pour sa part, le préfet de Grand-Bassam, Bernard Gninah, a rappelé que la société civile constituait un des mailons essentiels et incontournables du processus de pacification du pays. Il a demandé aux participants de s’investir pleinement dans ce séminaire. Car, a-t-il dit, «étant mieux organisée, la société civile dans ce contexte de fracture sociale, contribuera à construire avec les autres acteurs de notre société, des pactes de stabilité et de cohésion sociale».
Une cinquantaine de membres de la société civile venus de la région des Lagunes, (Abidjan, Grand-Lahou, Jacqueville, Dabou) vont, durant deux jours, acquérir les outils nécessaires à la propagation de la culture de la paix et la cohésion sociale.
Source: Onuci