Les paroissiens de l’église sacré cœur d’Abobo-Anador devront encore attendre avant de retrouver leur lieu de culte. Qui s’est effondré mardi dernier. Heureusement qu’on ne déplore aucune perte en vie humaine.
Ce jour-là, en effet, explique le curé Réné Kacou, c’est autour de 10h que les premiers craquements de la charpente en bois ont été entendus. Très rapidement, les prêtres, aidés de jeunes paroissiens présents sur les lieux, ont vidé l’église de ses bancs, statuts et autres objets de célébration. Mais au fil des minutes, les craquements s’accentuaient. Et finalement, l’édifice religieux s’est effondré à 15h30.
Construit depuis 1992, aucun travail de réfection n’a été réalisé sur l’église sacré cœur. Or ce lieu de culte dont la charpente est faite uniquement de bois et recouverte d’un produit à base de goudron, a subi au fil des années,les aléas climatiques. Résultat, le goudron a progressivement fondu, permettant ainsi aux eaux de pluies de toucher le bois qui a fini par se détériorer sérieusement. «Le matériel utilisé pour la toiture n’est pas adapté à notre climat », fait remarquer le curé de la paroisse.
Marc Yevou
Ce jour-là, en effet, explique le curé Réné Kacou, c’est autour de 10h que les premiers craquements de la charpente en bois ont été entendus. Très rapidement, les prêtres, aidés de jeunes paroissiens présents sur les lieux, ont vidé l’église de ses bancs, statuts et autres objets de célébration. Mais au fil des minutes, les craquements s’accentuaient. Et finalement, l’édifice religieux s’est effondré à 15h30.
Construit depuis 1992, aucun travail de réfection n’a été réalisé sur l’église sacré cœur. Or ce lieu de culte dont la charpente est faite uniquement de bois et recouverte d’un produit à base de goudron, a subi au fil des années,les aléas climatiques. Résultat, le goudron a progressivement fondu, permettant ainsi aux eaux de pluies de toucher le bois qui a fini par se détériorer sérieusement. «Le matériel utilisé pour la toiture n’est pas adapté à notre climat », fait remarquer le curé de la paroisse.
Marc Yevou