Le programme du président américain, Barack Obama, pour l’Afrique ne sera connu que lors de son passage en juillet à Accra, au Ghana». A la rotonde de l’Assemblée nationale, l’ambassadeur Jean Vincent Zinsou a fait cette déclaration, récemment, devant un parterre d’invités.
Sous l’égide du Réseau des Parlementaires pour Obama et du Comité Afrique pour Obama et de la presse, SEM. Jean Vincent Zinsou, dans un cours magistral, a exposé sur le thème : «Les 100 jours de Barack Obama dans le bureau ovale de la Maison- Blanche».
Devant l’insistance de l’auditoire qui voulait savoir ce que l’Afrique attend du 44e président des Etats-Unis, le conférencier a indiqué que, malgré son origine africaine, le président Barack Obama est tout de même un «président américain, et non africain». Qui n’a d’ailleurs parlé de l’Afrique que pendant son investiture, au temps fort de la crise du Darfour, du développement, de la grippe porcine. L’administration Obama ayant, par ailleurs, rappelé à l’ordre Niamey pour le respect des règles démocratiques. Quand il a été question du projet de changement de la Constitution nigérienne.
L’Afrique, selon l’ambassadeur Jean Vincent Zinsou, est «caractérisée par l’instabilité, l’incertitude et l’insécurité». Toutes choses auxquelles le président Barack Obama oppose le triptyque «développement, défense et démocratie».
Le continent africain qui, de l’avis du conférencier, devrait parler d’une seule voix quand il s’agit de son développement, à l’instar des pays européens qui ont un Parlement.
Les 100 jours d’Obama ont été caractérisés, selon SEM. Jean Vincent Zinsou, par des enjeux économiques. Crise financière mondiale aidant. Toutefois, Obama, pour juguler cette crise, a pu obtenir du Sénat américain le vote de 787 milliards de dollars US.
Au plan diplomatique, le président Barack Obama a ouvert de grands chantiers, notamment en Iran pour le programme nucléaire, en Syrie, à Cuba et au Moyen-Orient. Où la solution de la création de deux Etats dans le conflit israélo-palestinien, préconisée par Obama rencontre l’assentiment du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu.
E. A. S.
Sous l’égide du Réseau des Parlementaires pour Obama et du Comité Afrique pour Obama et de la presse, SEM. Jean Vincent Zinsou, dans un cours magistral, a exposé sur le thème : «Les 100 jours de Barack Obama dans le bureau ovale de la Maison- Blanche».
Devant l’insistance de l’auditoire qui voulait savoir ce que l’Afrique attend du 44e président des Etats-Unis, le conférencier a indiqué que, malgré son origine africaine, le président Barack Obama est tout de même un «président américain, et non africain». Qui n’a d’ailleurs parlé de l’Afrique que pendant son investiture, au temps fort de la crise du Darfour, du développement, de la grippe porcine. L’administration Obama ayant, par ailleurs, rappelé à l’ordre Niamey pour le respect des règles démocratiques. Quand il a été question du projet de changement de la Constitution nigérienne.
L’Afrique, selon l’ambassadeur Jean Vincent Zinsou, est «caractérisée par l’instabilité, l’incertitude et l’insécurité». Toutes choses auxquelles le président Barack Obama oppose le triptyque «développement, défense et démocratie».
Le continent africain qui, de l’avis du conférencier, devrait parler d’une seule voix quand il s’agit de son développement, à l’instar des pays européens qui ont un Parlement.
Les 100 jours d’Obama ont été caractérisés, selon SEM. Jean Vincent Zinsou, par des enjeux économiques. Crise financière mondiale aidant. Toutefois, Obama, pour juguler cette crise, a pu obtenir du Sénat américain le vote de 787 milliards de dollars US.
Au plan diplomatique, le président Barack Obama a ouvert de grands chantiers, notamment en Iran pour le programme nucléaire, en Syrie, à Cuba et au Moyen-Orient. Où la solution de la création de deux Etats dans le conflit israélo-palestinien, préconisée par Obama rencontre l’assentiment du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu.
E. A. S.
