La Côte d’Ivoire a le satisfecit de la Banque mondiale qui a approuvé la conduite du PUIUR (Projet d’urgence d’infrastructures urbaines) financé à hauteur de 50 milliards de FCFA par cette même institution.
C’est M. Eustache Wayoro, Directeur sectoriel de l’Assainissement à la Banque mondiale qui a donné l’information au terme de deux jours de consultations en Côte d’Ivoire avec les autorités municipales. Avant de quitter Abidjan, le fonctionnaire de la Banque mondiale a été reçu le samedi 13 juin 2009, par le ministre de la Ville. Les deux hommes ont fait le point de certains travaux inscrits dans le cadre du PUIUR. Au cours d’un entretien avec la presse, M. Eustache Wayoro a reconnu la bonne exécution des travaux même si quelques aménagements restent à faire. Pour lui, l’essentiel a été fait. Il a même fait la confidence selon laquelle la Côte d’Ivoire pourrait bénéficier d’un autre appui, pour d’autres projets. A ce jour, concernant la composante relative à la gestion des déchets solides d’un montant de 6 milliards de FCFA, plus de 4000 ordures ont été collectées sur le district d’Abidjan. Toute chose qui a permis de réduire les risques de maladies et qui est susceptible d’encourager d’éventuels touristes à fréquenter les communes. Ce qui n’était pas le cas auparavant où plusieurs tonnes d’ordures jonchaient les rues. M. Dimba Pierre, coordonnateur national du PUIUR reconnaît également les avancées notables réalisées en termes de propreté dans la ville d’Abidjan. Les avancées concernent également les travaux de la composante portant sur les contrats de ville. Au niveau de la composante relative à l’alimentation en eau potable (d’un montrant de 14 milliards de FCFA), les travaux avancent très bien. Cette composante permet la subvention de 20.000 branchements sociaux. A ce jour, il ne reste que la composante du PUIUR portant sur la réhabilitation de la voirie urbaine (14 milliards de FCFA) dont les travaux démarreront incessamment. Le retard accusé au niveau de cette composante s’explique par des études préalables qui doivent être réalisées avant le démarrage effectif de sa mise en œuvre. Cette composante prend principalement en compte la réhabilitation de l’axe Wiliamsville- Abobo Samaké. Outre le district d’Abidjan, les opérations du PUIUR sont poursuivies à Bouaké.
Honoré Kouassi
C’est M. Eustache Wayoro, Directeur sectoriel de l’Assainissement à la Banque mondiale qui a donné l’information au terme de deux jours de consultations en Côte d’Ivoire avec les autorités municipales. Avant de quitter Abidjan, le fonctionnaire de la Banque mondiale a été reçu le samedi 13 juin 2009, par le ministre de la Ville. Les deux hommes ont fait le point de certains travaux inscrits dans le cadre du PUIUR. Au cours d’un entretien avec la presse, M. Eustache Wayoro a reconnu la bonne exécution des travaux même si quelques aménagements restent à faire. Pour lui, l’essentiel a été fait. Il a même fait la confidence selon laquelle la Côte d’Ivoire pourrait bénéficier d’un autre appui, pour d’autres projets. A ce jour, concernant la composante relative à la gestion des déchets solides d’un montant de 6 milliards de FCFA, plus de 4000 ordures ont été collectées sur le district d’Abidjan. Toute chose qui a permis de réduire les risques de maladies et qui est susceptible d’encourager d’éventuels touristes à fréquenter les communes. Ce qui n’était pas le cas auparavant où plusieurs tonnes d’ordures jonchaient les rues. M. Dimba Pierre, coordonnateur national du PUIUR reconnaît également les avancées notables réalisées en termes de propreté dans la ville d’Abidjan. Les avancées concernent également les travaux de la composante portant sur les contrats de ville. Au niveau de la composante relative à l’alimentation en eau potable (d’un montrant de 14 milliards de FCFA), les travaux avancent très bien. Cette composante permet la subvention de 20.000 branchements sociaux. A ce jour, il ne reste que la composante du PUIUR portant sur la réhabilitation de la voirie urbaine (14 milliards de FCFA) dont les travaux démarreront incessamment. Le retard accusé au niveau de cette composante s’explique par des études préalables qui doivent être réalisées avant le démarrage effectif de sa mise en œuvre. Cette composante prend principalement en compte la réhabilitation de l’axe Wiliamsville- Abobo Samaké. Outre le district d’Abidjan, les opérations du PUIUR sont poursuivies à Bouaké.
Honoré Kouassi