La coordination départementale de l'Union pour le contrôle de la qualité des produits café-cacao a été investie le 6 juin à la place OCPV de Méagui. C'était en présence du sous-préfet de la localité et des responsables du monde agricole.
A la tête du bureau fort du 17 membres, M. Alloko N'Guessan François a indiqué que depuis la libéralisation de la filière café-cacao, la qualité de ces deux produits ne cesse de se dégrader. une situation qui entraîne du coup de forts taux de réfraction à l'usine et l'augmentation des charges. Et d'ajouter que la faillite de plusieurs coopératives est à base de la production de cacao de mauvaise qualité. Pour réussir sa mission, il entend relever le défi de la qualité par la formation et la sensibilisation des producteurs et par le contrôle des fèves du cacao depuis le bord champ jusqu'à l'usine. Il envisage également de créer un cadre d'échanges entre les opérateurs et les exportateurs afin que ces derniers refoulent systématiquement tout produit dont la qualité ne respecte pas les normes prédéfinies. Alloko François a exhorté les exportateurs à jouer franchement leur partition afin d'aider l'union à atteindre ses objectifs.
A sa suite, le sous-préfet de Méagui, M. Zéré Séry Léon, s'est réjoui de la mise en place d'une union pour l'amélioration de la qualité du cacao ivoirien.
Car, selon lui, il est inacceptable que la Côte d'Ivoire occupe le premier rang de producteur mondial de cacao avec une mauvaise réputation au niveau de la qualité. C'est pourquoi il a invité l'ensemble des acteurs de ladite filière à soutenir l'union pour redorer l'image du cacao ivoirien fortement dégradée sur le plan international.
Robalé Symphorien
A la tête du bureau fort du 17 membres, M. Alloko N'Guessan François a indiqué que depuis la libéralisation de la filière café-cacao, la qualité de ces deux produits ne cesse de se dégrader. une situation qui entraîne du coup de forts taux de réfraction à l'usine et l'augmentation des charges. Et d'ajouter que la faillite de plusieurs coopératives est à base de la production de cacao de mauvaise qualité. Pour réussir sa mission, il entend relever le défi de la qualité par la formation et la sensibilisation des producteurs et par le contrôle des fèves du cacao depuis le bord champ jusqu'à l'usine. Il envisage également de créer un cadre d'échanges entre les opérateurs et les exportateurs afin que ces derniers refoulent systématiquement tout produit dont la qualité ne respecte pas les normes prédéfinies. Alloko François a exhorté les exportateurs à jouer franchement leur partition afin d'aider l'union à atteindre ses objectifs.
A sa suite, le sous-préfet de Méagui, M. Zéré Séry Léon, s'est réjoui de la mise en place d'une union pour l'amélioration de la qualité du cacao ivoirien.
Car, selon lui, il est inacceptable que la Côte d'Ivoire occupe le premier rang de producteur mondial de cacao avec une mauvaise réputation au niveau de la qualité. C'est pourquoi il a invité l'ensemble des acteurs de ladite filière à soutenir l'union pour redorer l'image du cacao ivoirien fortement dégradée sur le plan international.
Robalé Symphorien
