Le téléphone mobile est-il nocif ? Le débat sur l’impact du téléphone mobile sur la santé s’amplifie de plus en plus en Europe, particulièrement en France où les associations s’insurgent contre les antennes-relais déployées un peu partout par les opérateurs. Et pourtant le consommateur, tout en voulant être rassuré pour sa santé, aimerait pouvoir continuer de téléphoner de n’importe où. Cruelle dilemme donc que celui qui vient de naitre autour de la téléphonie mobile, dont les antennes sont accusées d’émettre des ondes cancérigènes. Dans le doute, les régulateurs de partout, même chez nous, veillent au respect des seuils de limitation des champs électromagnétiques préconisés par l’OMS.
En attendant que les scientifiques s’accordent sur l’impact éventuel des téléphones mobiles et des antennes-relais sur la santé, le marché ivoirien continue de croître. Il frôle les 700 milliards de fcfa chiffres d’affaires. A la fin de l’année dernière, le nombre d’opérateurs de téléphonie mobile est passé à cinq avec l’arrivée de Greenn Network en décembre dernier. Bien entendu, cette arrivée a relancé la concurrence, déjà très forte avant le démarrage de Greenn.
Mais il n’y a pas que le mobile qui bouge. Dans le fixe, les cartes se redistribuent en vue de constituer à terme des opérateurs intégrés. La cession d’Arobase s’est finalement concrétisée en fin d’année, et avec elle celle d’Afnet également reprise par le sud africain MTN CI. Face à face donc se retrouvent d’un côté CIT, Orange et Aviso, et de l’autre côté MTN, Arobase et Afnet. On s’attend bientôt à de grandes empoignades. C’est dans cette atmosphère de forte concurrence mais de développement réel du secteur des télécoms en Côte d’Ivoire que le pays a atteint avec beaucoup de joie le point de décision pour l’initiative PPTE. Faut-il s’en réjouir ? Nous pensons qu’il est inutile de faire la fine bouche. Le pays en avait besoin pour relancer la machine économique, plombée par plus de 6000 milliards de fcfa de dettes. Après deux tentatives infructueuses en 1998 et 2002, la Côte d’Ivoire vient enfin d’être admise à l’initiative PPTE, entendez Pays Pauvres Très Endettés. Qu’en attendons-nous ? Plusieurs décaissements au titre de la FRPC, Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance, pour un total programme de 565,7 millions de dollars.
Pour nous tous, c’est un véritable soupir de soulagement vu que chaque année, près d’un tiers du budget de l’état est consacré au paiement de la dette extérieure, entrainant du coup un empilement des factures de la dette intérieure. C’est pourquoi les opérateurs économiques se réjouissent de la décision de l’état de consacrer les premiers décaissements à l’apurement de la dette intérieure, ce qui devrait permettre à nombre de PME de redémarrer leurs activités mises pour la plupart en veilleuse. Un réel motif d’espoir pour tous les entrepreneurs de ce pays qui attendent avec impatience le redécollage effectif de l’économie, qui avouons-le, a tenu durant la crise grâce à des secteurs comme les télécoms.
A bientôt.
En attendant que les scientifiques s’accordent sur l’impact éventuel des téléphones mobiles et des antennes-relais sur la santé, le marché ivoirien continue de croître. Il frôle les 700 milliards de fcfa chiffres d’affaires. A la fin de l’année dernière, le nombre d’opérateurs de téléphonie mobile est passé à cinq avec l’arrivée de Greenn Network en décembre dernier. Bien entendu, cette arrivée a relancé la concurrence, déjà très forte avant le démarrage de Greenn.
Mais il n’y a pas que le mobile qui bouge. Dans le fixe, les cartes se redistribuent en vue de constituer à terme des opérateurs intégrés. La cession d’Arobase s’est finalement concrétisée en fin d’année, et avec elle celle d’Afnet également reprise par le sud africain MTN CI. Face à face donc se retrouvent d’un côté CIT, Orange et Aviso, et de l’autre côté MTN, Arobase et Afnet. On s’attend bientôt à de grandes empoignades. C’est dans cette atmosphère de forte concurrence mais de développement réel du secteur des télécoms en Côte d’Ivoire que le pays a atteint avec beaucoup de joie le point de décision pour l’initiative PPTE. Faut-il s’en réjouir ? Nous pensons qu’il est inutile de faire la fine bouche. Le pays en avait besoin pour relancer la machine économique, plombée par plus de 6000 milliards de fcfa de dettes. Après deux tentatives infructueuses en 1998 et 2002, la Côte d’Ivoire vient enfin d’être admise à l’initiative PPTE, entendez Pays Pauvres Très Endettés. Qu’en attendons-nous ? Plusieurs décaissements au titre de la FRPC, Facilité pour la réduction de la pauvreté et pour la croissance, pour un total programme de 565,7 millions de dollars.
Pour nous tous, c’est un véritable soupir de soulagement vu que chaque année, près d’un tiers du budget de l’état est consacré au paiement de la dette extérieure, entrainant du coup un empilement des factures de la dette intérieure. C’est pourquoi les opérateurs économiques se réjouissent de la décision de l’état de consacrer les premiers décaissements à l’apurement de la dette intérieure, ce qui devrait permettre à nombre de PME de redémarrer leurs activités mises pour la plupart en veilleuse. Un réel motif d’espoir pour tous les entrepreneurs de ce pays qui attendent avec impatience le redécollage effectif de l’économie, qui avouons-le, a tenu durant la crise grâce à des secteurs comme les télécoms.
A bientôt.