Le ministère d’Etat, ministère du Plan et du Développement, en partenariat avec le programme des Nations unies pour le développement (Pnud), a procédé lundi, au Golf hôtel, au lancement du programme d’appui à la réduction de la pauvreté et à la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement (Parp/Omd). D’un coût global de 8,890 milliards de francs Cfa, ce programme est cofinancé par le Pnud, la Côte d’Ivoire et ses partenaires au développement. Il porte sur le développement de l’agriculture, l’accès à l’eau potable, la promotion de la micro entreprise et la micro finance, etc. Dans son allocution, le directeur pays du Pnud, André Carvalho, a expliqué que le Parp/Omd, est la contribution du Pnud aux efforts du gouvernement pour l’amélioration du bien- être et des conditions de vie des populations. Il s’agit, selon lui, d’adapter les interventions du Pnud aux priorités définies par le document stratégique de réduction de la pauvreté de la Côte d’Ivoire (Dsrp). Ce qui va se traduire par des appuis directs aux populations, a-t-il précisé. « Nous devons offrir aux populations des opportunités d’améliorer leur vie. C’est le sens de ce programme qui est lancé aujourd’hui», a souligné André Carvalho.
Le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré, président de cette cérémonie, a plaidé pour une appropriation du Dsrp par les élus des collectivités locales. «L’objectif commun, c’est la lutte contre la pauvreté. Pour la mener, il y a un ensemble d’acteurs : l’Etat central d’abord, puis les représentants locaux. Notre mission est de faire en sorte que tous ces partenaires travaillent sur des programmes cohérents », a soutenu Bohoun Bouabré. «Si un Conseil général ou une mairie élabore son programme sans tenir compte du Dsrp qui est le cadre global défini par l’Etat, nous aurons du mal à lui trouver des appuis financiers », a-t-il prévenu.
Par ailleurs, le ministre d’Etat Bohoun Bouabré a rappelé que la Dsrp vise à réduire le taux de pauvreté en Côte d’Ivoire, et à le faire passer de 48,9% actuellement , à 36, 6% en 2013, et 16% en 2015.
David Ya
Le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré, président de cette cérémonie, a plaidé pour une appropriation du Dsrp par les élus des collectivités locales. «L’objectif commun, c’est la lutte contre la pauvreté. Pour la mener, il y a un ensemble d’acteurs : l’Etat central d’abord, puis les représentants locaux. Notre mission est de faire en sorte que tous ces partenaires travaillent sur des programmes cohérents », a soutenu Bohoun Bouabré. «Si un Conseil général ou une mairie élabore son programme sans tenir compte du Dsrp qui est le cadre global défini par l’Etat, nous aurons du mal à lui trouver des appuis financiers », a-t-il prévenu.
Par ailleurs, le ministre d’Etat Bohoun Bouabré a rappelé que la Dsrp vise à réduire le taux de pauvreté en Côte d’Ivoire, et à le faire passer de 48,9% actuellement , à 36, 6% en 2013, et 16% en 2015.
David Ya