Le programme d’appui à la réduction de la pauvreté et à la réalisation des objectifs du millénaire pour le développement (PARP/OMD) a démarré ses activités, hier, au cours d’un atelier de lancement ,au Golf hôtel d’Abidjan-Cocody. Cette cérémonie voulue officielle par le ministère d’Etat, ministère du Plan et du développement et son partenaire du Programme des Nations unies pour le Développement (PNUD), devra, outre le caractère officiel de ce lancement, mettre en exergue l’engagement du PNUD et du gouvernement ainsi que des autres partenaires, à réduire la pauvreté.
Ce programme qui devra couvrir toute l’étendue du territoire national de 2009 à 2013, est chiffré à 8,890 milliards de francs CFA. Cette somme est en partie mobilisée. Notamment 6,490 milliards de francs CFA dont 2,940 milliards de francs CFA offerts par le PNUD et 3,750 milliards de francs CFA des autres partenaires. Dans le détail, il aura une phase d’appui institutionnel, d’assainissement du cadre macroéconomique et d’appui direct aux populations. Il va falloir en définitif contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations en renforçant les capacités des acteurs au niveau local par les financements des activités. Le programme devra non seulement faciliter l’accès des populations aux services énergétiques et à l’eau potable, mais également permettre une gestion durable des ressources tout en aidant à l’accès au financement, à travers les micro finances et la création d’activités génératrices de revenus. Les actions devront permettre de ramener le taux de pauvreté à 33,8 % en 2013 et à 16 % en 2015.
Pour le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré, l’objectif commun est de lutter contre la pauvreté à travers l’intensification et la diversification des actions, surtout en milieu rural où le taux est élevé et notamment dans le domaine de l’agriculture. Il a exhorté les autres partenaires à emboîter le pas au PNUD, et il entend pour ce faire organiser une table ronde. Aux organisations en charge de l’exécution du programme, le ministre a relevé l’impérieuse nécessité d’être efficaces en ayant une obligation de résultats. Il a également invité les collectivités locales à s’approprier le programme. “Si les maires élaborent un document de lutte hors du cadre de celui du programme, nous aurons du mal à leur trouver du financement. Il faut donc aller dans le sens souhaité par le programme”, a-t-il conseillé.
C’est une contribution à la mise en œuvre du Document stratégique pour la réduction de la pauvreté (DRSP), qui devra permettre d’agir directement sur le vécu quotidien des populations en améliorant leurs conditions de vie, a indiqué le résident directeur pays du PNUD, André Carvahlo. Aussi souhait-il que les ressources soient utilisées efficacement pour offrir un mieux être aux populations, à travers l’engagement total du gouvernement par des solutions novatrices.
Djè Abel
Ce programme qui devra couvrir toute l’étendue du territoire national de 2009 à 2013, est chiffré à 8,890 milliards de francs CFA. Cette somme est en partie mobilisée. Notamment 6,490 milliards de francs CFA dont 2,940 milliards de francs CFA offerts par le PNUD et 3,750 milliards de francs CFA des autres partenaires. Dans le détail, il aura une phase d’appui institutionnel, d’assainissement du cadre macroéconomique et d’appui direct aux populations. Il va falloir en définitif contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations en renforçant les capacités des acteurs au niveau local par les financements des activités. Le programme devra non seulement faciliter l’accès des populations aux services énergétiques et à l’eau potable, mais également permettre une gestion durable des ressources tout en aidant à l’accès au financement, à travers les micro finances et la création d’activités génératrices de revenus. Les actions devront permettre de ramener le taux de pauvreté à 33,8 % en 2013 et à 16 % en 2015.
Pour le ministre d’Etat, ministre du Plan et du Développement, Paul Antoine Bohoun Bouabré, l’objectif commun est de lutter contre la pauvreté à travers l’intensification et la diversification des actions, surtout en milieu rural où le taux est élevé et notamment dans le domaine de l’agriculture. Il a exhorté les autres partenaires à emboîter le pas au PNUD, et il entend pour ce faire organiser une table ronde. Aux organisations en charge de l’exécution du programme, le ministre a relevé l’impérieuse nécessité d’être efficaces en ayant une obligation de résultats. Il a également invité les collectivités locales à s’approprier le programme. “Si les maires élaborent un document de lutte hors du cadre de celui du programme, nous aurons du mal à leur trouver du financement. Il faut donc aller dans le sens souhaité par le programme”, a-t-il conseillé.
C’est une contribution à la mise en œuvre du Document stratégique pour la réduction de la pauvreté (DRSP), qui devra permettre d’agir directement sur le vécu quotidien des populations en améliorant leurs conditions de vie, a indiqué le résident directeur pays du PNUD, André Carvahlo. Aussi souhait-il que les ressources soient utilisées efficacement pour offrir un mieux être aux populations, à travers l’engagement total du gouvernement par des solutions novatrices.
Djè Abel