Une université islamique en Côte d'Ivoire
La première Université islamique de Côte d'Ivoire (Umci) est née. Le lancement a eu lieu samedi au sein du Groupe Hetec au Plateau-Dokui à Abobo. Ouverte à tous les étudiants sans distinction de religion, l'Umci dispose de 5 facultés : Sciences économiques juridiques et politiques, sciences et technologie, langue et communication, sciences de l'homme et de la société et la faculté de philosophie et théologie. 7 institutions seront rattachées à ces facultés dont trois destinées à l'Islam.
150 retraités réclament leurs droits
150 ex-agents municipaux de la mairie de Bouaké, attendent vainement le règlement de leur situation atteints par l'âge de la retraite au début de la crise, leur arrêt de service n'a toujours pas été attesté par des lettres de radiation. Cette situation fait « obstacle au démarrage du paiement des droits que leur confère le statut de retraité », a déploré jeudi devant la presse Yao N'Guessan, président de l'Association des retraités de la commune de Bouaké (Arecob).
La première Université islamique de Côte d'Ivoire (Umci) est née. Le lancement a eu lieu samedi au sein du Groupe Hetec au Plateau-Dokui à Abobo. Ouverte à tous les étudiants sans distinction de religion, l'Umci dispose de 5 facultés : Sciences économiques juridiques et politiques, sciences et technologie, langue et communication, sciences de l'homme et de la société et la faculté de philosophie et théologie. 7 institutions seront rattachées à ces facultés dont trois destinées à l'Islam.
150 retraités réclament leurs droits
150 ex-agents municipaux de la mairie de Bouaké, attendent vainement le règlement de leur situation atteints par l'âge de la retraite au début de la crise, leur arrêt de service n'a toujours pas été attesté par des lettres de radiation. Cette situation fait « obstacle au démarrage du paiement des droits que leur confère le statut de retraité », a déploré jeudi devant la presse Yao N'Guessan, président de l'Association des retraités de la commune de Bouaké (Arecob).
