Théodore Dagrou, magistrat, et Antoine Djessan, géomètre expert, viennent de co-publier, aux éditions du CERAP, deux ouvrages dont la cérémonie de dédicace a eu lieu récemment dans les locaux du Centre de recherche et d’action pour la paix (CERAP), à Cocody.
Ces publications dont l’une s’intitule “Les non ivoiriens et le code de foncier rural de la Côte d’Ivoire”, et l’autre, “Le foncier rural ivoirien en 100 questions et plus”, viennent d’une part, pour “clarifier certaines dispositions de la loi n° 98-750 du 23 décembre 1998 relative au Domaine foncier rural et, d’autre part, répondre à quelques préoccupations des Ivoiriens et des non Ivoiriens et pour donner une idée des procédures d’accès à la propriété foncière en milieu rural”.
En effet, ces préoccupations, selon les auteurs, résultent de ce que la Côte d’Ivoire est l’un des pays où les terres, avec les promesses de propriété qu’elles recèlent, posent avec plus d’acuité le problème foncier. Mais aussi “le problème foncier qui se pose partout, dans le monde entier, s’il concerne au premier chef les relations entre voisins et la vie quotidienne du village, il se prolonge dans le choix toujours délicat, des législations nationales qu’adoptent les Etats pour assurer l’accès à la terre…”
Ces analyses trouvent tout leur sens dans les préfaces de Lucien Mathieu N’Gouin-Claih, coordinateur de l’université judiciaire, qui dit que la terre est à la fois notre berceau, notre garde-manger et notre tombe, et du professeur Sery Bailly, membre de l’ASCAD, soulignant que ces livres constituent un guide précieux pour les solutions aux nombreuses interrogations suscitées par l’occupation et l’exploitation de la terre en milieu rural.
Etienne Assémian
Ces publications dont l’une s’intitule “Les non ivoiriens et le code de foncier rural de la Côte d’Ivoire”, et l’autre, “Le foncier rural ivoirien en 100 questions et plus”, viennent d’une part, pour “clarifier certaines dispositions de la loi n° 98-750 du 23 décembre 1998 relative au Domaine foncier rural et, d’autre part, répondre à quelques préoccupations des Ivoiriens et des non Ivoiriens et pour donner une idée des procédures d’accès à la propriété foncière en milieu rural”.
En effet, ces préoccupations, selon les auteurs, résultent de ce que la Côte d’Ivoire est l’un des pays où les terres, avec les promesses de propriété qu’elles recèlent, posent avec plus d’acuité le problème foncier. Mais aussi “le problème foncier qui se pose partout, dans le monde entier, s’il concerne au premier chef les relations entre voisins et la vie quotidienne du village, il se prolonge dans le choix toujours délicat, des législations nationales qu’adoptent les Etats pour assurer l’accès à la terre…”
Ces analyses trouvent tout leur sens dans les préfaces de Lucien Mathieu N’Gouin-Claih, coordinateur de l’université judiciaire, qui dit que la terre est à la fois notre berceau, notre garde-manger et notre tombe, et du professeur Sery Bailly, membre de l’ASCAD, soulignant que ces livres constituent un guide précieux pour les solutions aux nombreuses interrogations suscitées par l’occupation et l’exploitation de la terre en milieu rural.
Etienne Assémian