La guerre est finie. Maintenant, tous au travail ! Il ne s’agit pas ici de la guerre déclenchée, le 19 septembre 2002 et qui a véritablement pris fin par l’Accord de Ouagadougou signé en mars 2007. Il s’agit plutôt de la guerre que se livraient tantôt par presse interposée tantôt sur le terrain par des manifestations d’hostilité, deux partenaires du projet immobilier des Forces de défense et de sécurité dénommé : « projet immobilier FDS ». A savoir Djédjé Louis Durand, patron d’Azuréenne de Promotion et Touré Ahamed Bouah, directeur général de Sophia immobilier. Depuis le jeudi 5 mai, les machines sont sur le site accordé par le village d’Anyama-Adjamé. D’un côté, les machines de Sophia Immobilier. De l’autre celles d’Azuréenne de Promotion. Les villageois qui ont cédé leurs terres sont plutôt heureux du démarrage effectif de l’opération qui a fait couler tant d’encre et de salive. “Il s’agit d’une assiette foncière de 772 ha avec 540 ha pour Azuréenne de Promotion et 232 ha pour Sophia immobilier. L’objectif final de ce projet initial est la fourniture de terrains nus exclusivement aux Fds ”, affirme Touré Ahmed Bouah dans une interview à Fraternité matin.
L’action salutaire d’Amani N’Guessan
Mais pour en arriver là, il a fallu que le ministre de la Défense, Michel Amani N’Guessan se saisisse du dossier, s’implique véritablement pour mettre d’accord les deux parties en conflit. La tension entre les deux était tellement vive qu’on a eu l’impression que le point de non retour avait été atteint et que le projet était définitivement compromis. Surtout que d’un autre côté, le fonds de prévoyance de la police nationale (FPPN) ne facilitait pas vraiment les choses. Son directeur général, le commissaire Krouma n’avait eu de cesse de soutenir que M. Touré Ahmed Bouah ne disposait pas de terrain et qu’il n’engagerait la police que s’il était prouvé que le terrain en question existait bel et bien. Le temps a fait son œuvre. La vérité a triomphé. C’est pourquoi M. Touré Ahmed Bouah ne trouve pas de mot assez fort pour traduire sa reconnaissance au ministre de la Défense qui a travaillé dans la discrétion pour aplanir tous les différends et recoller les morceaux.
“Ce sont les efforts du ministre de la Défense qui sont récompensés. C’est le ministre de la Défense seul qui a réalisé l’exploit inédit de traduire la volonté du chef de l’Etat Laurent Gbagbo d’offrir un cadre de vie aux Ivoiriens qui l’ont élu et particulièrement aux Fds qui, sous les ordres du général Mangou, ont tenu ce pays debout”, avoue-t-il. Et M. Touré Ahmed Bouah de poursuivre : “c’est le ministre Amani, ce grand serviteur de l’Etat, fidèle compagnon de Gbagbo (…) qui a refusé l’injustice et l’arbitraire et sur instruction du président de la république, sans tambour ni trompette, a réussi, contre vents et marées, à redonner à sa place et ressuscité le projet dit mort. Il faut rendre à César ce qui est à César”.
Un projet définitivement sur les rails
Il aurait, été de très mauvais goût qu’un tel projet auquel le président Laurent Gbagbo avait apporté tout son soutien se dilue dans les conflits de personnes et de compétences. On se souvient, en effet, qu’à l’occasion d’une cérémonie solennelle organisée à l’état-major des armées il y a quelques années, le président Gbagbo avait remis symboliquement les premières lettres d’attribution à un certain nombre de souscripteurs du projet. La joie était alors à son comble et la confiance était de mise. Et puis, il y a eu les mésententes qui ont sérieusement mis à mal le projet. Faisant peser de graves dangers sur la marche de la nation. Puisque des esprits malins avaient bien tenté d’utiliser ce dossier pour créer le mécontentement au sein des Forces de défense et de sécurité à un moment où la situation politique du pays était fragile.
Maintenant que le calme est revenu et que tout semble bien engagé, il est bon que la vigilance reste de mise pour éviter de nouveaux accrocs.
De fait, il est bon de profiter de la bénédiction que les villageois accordent au projet aujourd’hui surtout qu’au sommet de l’Etat au regard permanent dans la gestion du projet est de mise. Cette nouvelle ambiance positive profite à tous les acteurs du projet.
Aujourd’hui, Azuréenne a engagé avec ces partenaires techniques étrangers, l’opportunité d’entamer la 2ème phase qui est la production des logements sur les terrains achetés par les FDS. La visite récente sur le site de ses partenaires Tunisiens reste la preuve du dynamisme du projet.
Quant à Monsieur TOURE Ahmed Bouah, l’initiateur du projet de fournitures de terrains nus aux FDS. Il a retrouvé tous ses sens de managers.
D’ailleurs, il vient d’être primé meilleur manager Africain par le Conseil International des Manager Africain. Il recevra son prix lors du XXIe forum économique de l’Afrique gagnante à Paris dès la semaine prochaine.
Par ailleurs, il a activé l’ensemble de ses réseaux avec ses partenaires institutionnels que sont le BNETD, l’AGEF et le CEPICI sous la coordination du Ministère de la Construction de l’Urbanisme et de l’Habitat.
Récemment, le président du Conseil d’Administration de Sophia et ses partenaires techniques institutionnels et étatiques étaient à Pékin pour conclure avec leur partenaire Chinois Founder Groupe qui est une grande société d’Etat chinoise. Les nouvelles seraient bonnes de ce côté-là.
Augustin Kouyo
L’action salutaire d’Amani N’Guessan
Mais pour en arriver là, il a fallu que le ministre de la Défense, Michel Amani N’Guessan se saisisse du dossier, s’implique véritablement pour mettre d’accord les deux parties en conflit. La tension entre les deux était tellement vive qu’on a eu l’impression que le point de non retour avait été atteint et que le projet était définitivement compromis. Surtout que d’un autre côté, le fonds de prévoyance de la police nationale (FPPN) ne facilitait pas vraiment les choses. Son directeur général, le commissaire Krouma n’avait eu de cesse de soutenir que M. Touré Ahmed Bouah ne disposait pas de terrain et qu’il n’engagerait la police que s’il était prouvé que le terrain en question existait bel et bien. Le temps a fait son œuvre. La vérité a triomphé. C’est pourquoi M. Touré Ahmed Bouah ne trouve pas de mot assez fort pour traduire sa reconnaissance au ministre de la Défense qui a travaillé dans la discrétion pour aplanir tous les différends et recoller les morceaux.
“Ce sont les efforts du ministre de la Défense qui sont récompensés. C’est le ministre de la Défense seul qui a réalisé l’exploit inédit de traduire la volonté du chef de l’Etat Laurent Gbagbo d’offrir un cadre de vie aux Ivoiriens qui l’ont élu et particulièrement aux Fds qui, sous les ordres du général Mangou, ont tenu ce pays debout”, avoue-t-il. Et M. Touré Ahmed Bouah de poursuivre : “c’est le ministre Amani, ce grand serviteur de l’Etat, fidèle compagnon de Gbagbo (…) qui a refusé l’injustice et l’arbitraire et sur instruction du président de la république, sans tambour ni trompette, a réussi, contre vents et marées, à redonner à sa place et ressuscité le projet dit mort. Il faut rendre à César ce qui est à César”.
Un projet définitivement sur les rails
Il aurait, été de très mauvais goût qu’un tel projet auquel le président Laurent Gbagbo avait apporté tout son soutien se dilue dans les conflits de personnes et de compétences. On se souvient, en effet, qu’à l’occasion d’une cérémonie solennelle organisée à l’état-major des armées il y a quelques années, le président Gbagbo avait remis symboliquement les premières lettres d’attribution à un certain nombre de souscripteurs du projet. La joie était alors à son comble et la confiance était de mise. Et puis, il y a eu les mésententes qui ont sérieusement mis à mal le projet. Faisant peser de graves dangers sur la marche de la nation. Puisque des esprits malins avaient bien tenté d’utiliser ce dossier pour créer le mécontentement au sein des Forces de défense et de sécurité à un moment où la situation politique du pays était fragile.
Maintenant que le calme est revenu et que tout semble bien engagé, il est bon que la vigilance reste de mise pour éviter de nouveaux accrocs.
De fait, il est bon de profiter de la bénédiction que les villageois accordent au projet aujourd’hui surtout qu’au sommet de l’Etat au regard permanent dans la gestion du projet est de mise. Cette nouvelle ambiance positive profite à tous les acteurs du projet.
Aujourd’hui, Azuréenne a engagé avec ces partenaires techniques étrangers, l’opportunité d’entamer la 2ème phase qui est la production des logements sur les terrains achetés par les FDS. La visite récente sur le site de ses partenaires Tunisiens reste la preuve du dynamisme du projet.
Quant à Monsieur TOURE Ahmed Bouah, l’initiateur du projet de fournitures de terrains nus aux FDS. Il a retrouvé tous ses sens de managers.
D’ailleurs, il vient d’être primé meilleur manager Africain par le Conseil International des Manager Africain. Il recevra son prix lors du XXIe forum économique de l’Afrique gagnante à Paris dès la semaine prochaine.
Par ailleurs, il a activé l’ensemble de ses réseaux avec ses partenaires institutionnels que sont le BNETD, l’AGEF et le CEPICI sous la coordination du Ministère de la Construction de l’Urbanisme et de l’Habitat.
Récemment, le président du Conseil d’Administration de Sophia et ses partenaires techniques institutionnels et étatiques étaient à Pékin pour conclure avec leur partenaire Chinois Founder Groupe qui est une grande société d’Etat chinoise. Les nouvelles seraient bonnes de ce côté-là.
Augustin Kouyo