Le comité chargé de la réforme est à pied d’œuvre pour proposer au gouvernement, une approche nouvelle de gestion et de développement durable de la cacaoculture.
Le comité chargé de la réforme de la filière café-cacao, créé en février 2009, par décret n° 2009-54 du 27 février 2009, est à pied d’œuvre pour proposer au gouvernement les axes de la nouvelle réforme, conformément à l’orientation donnée par la lettre de la politique. Hier, il a organisé un petit déjeuner de presse suivi d’un atelier de formation à l’intention des journalistes. Globalement, il ressort de cette rencontre, présidée par Mme Odéhouri Géraldine épouse Brou, présidente du Comité chargé de la réforme de la filière café-cacao, que du 7 au 23 juillet prochain, ledit comité organisera une série d’ateliers sur les thématiques retenues. Et ce, en vue de recueillir les contributions et visions des différents acteurs de la filière sur la problématique de sa réforme. Au cours desdits ateliers, les questions, liées à la production du café et du cacao, la commercialisation intérieure et sa problématique de financement, la commercialisation extérieure et financement, la valorisation et transformation, la survie même de l’économie cacaoyère, seront au cœur des échanges. Sans oublier de diagnostiquer et d’analyser le cadre légal et réglementaire. En fait, les membres de ce comité, nommés seulement en avril dernier, se doit de proposer à court terme des pistes de solutions viables et fiables pour la durabilité de l’économie cacaoyère. Sans entrer dans le fond des choses, les responsables de ce comité, placé directement sous l’autorité du Chef de l’Etat, ont laissé entendre que les réflexions porteront sur tous les aspects de la filière et n’occulteront aucun questionnement. Par exemple, le Fonds de garantie a-t-il accompli la mission qui était la sienne ? A savoir servir de garantir et non de financier. Ils ont également assuré qu’il n’y avait pas de conflit de compétences entre leur structure et le comité de gestion de la filière café-cacao, créé sur les cendres des anciennes structures que sont Arcc, Fdpcc, Bcc, etc.
Pour rappel, la gestion de la filière a connu quatre grandes étapes : Caistab (1964-1997), réformes Pasa (1989-1992) et Casa (1994-1996), nouvelle Caistab avec la réforme Fasr (1997-2000), puis libéralisation de la filière à partir de 2000.
Gooré Bi Hué
Le comité chargé de la réforme de la filière café-cacao, créé en février 2009, par décret n° 2009-54 du 27 février 2009, est à pied d’œuvre pour proposer au gouvernement les axes de la nouvelle réforme, conformément à l’orientation donnée par la lettre de la politique. Hier, il a organisé un petit déjeuner de presse suivi d’un atelier de formation à l’intention des journalistes. Globalement, il ressort de cette rencontre, présidée par Mme Odéhouri Géraldine épouse Brou, présidente du Comité chargé de la réforme de la filière café-cacao, que du 7 au 23 juillet prochain, ledit comité organisera une série d’ateliers sur les thématiques retenues. Et ce, en vue de recueillir les contributions et visions des différents acteurs de la filière sur la problématique de sa réforme. Au cours desdits ateliers, les questions, liées à la production du café et du cacao, la commercialisation intérieure et sa problématique de financement, la commercialisation extérieure et financement, la valorisation et transformation, la survie même de l’économie cacaoyère, seront au cœur des échanges. Sans oublier de diagnostiquer et d’analyser le cadre légal et réglementaire. En fait, les membres de ce comité, nommés seulement en avril dernier, se doit de proposer à court terme des pistes de solutions viables et fiables pour la durabilité de l’économie cacaoyère. Sans entrer dans le fond des choses, les responsables de ce comité, placé directement sous l’autorité du Chef de l’Etat, ont laissé entendre que les réflexions porteront sur tous les aspects de la filière et n’occulteront aucun questionnement. Par exemple, le Fonds de garantie a-t-il accompli la mission qui était la sienne ? A savoir servir de garantir et non de financier. Ils ont également assuré qu’il n’y avait pas de conflit de compétences entre leur structure et le comité de gestion de la filière café-cacao, créé sur les cendres des anciennes structures que sont Arcc, Fdpcc, Bcc, etc.
Pour rappel, la gestion de la filière a connu quatre grandes étapes : Caistab (1964-1997), réformes Pasa (1989-1992) et Casa (1994-1996), nouvelle Caistab avec la réforme Fasr (1997-2000), puis libéralisation de la filière à partir de 2000.
Gooré Bi Hué