Criwa Zéli, président de l'Union nationale des journalistes de Côte d'Ivoire (Unjci) a, dans une déclaration faite le 1er juillet dernier au siège de l'Onuci, appelé les deux parties (Gepci et Synappci) à l'apaisement et au dialogue constructif afin que soit trouvé un compromis dynamique. "Ce que nous souhaitons, c'est que les signataires de la convention collective se retrouvent autour d'une table avec les différents arbitres. L'arbitrage a été fait par le ministère de la Communication et le ministère de la Fonction publique. Donc, on souhaite que tous les partenaires de ce secteur se retrouvent pour évaluer d'abord les conditions d'application de la convention collective. Mais nous pensons que le gouvernement ivoirien a fait de grands pas. Il faut que les patrons de presse cherchent aussi à faire des petits pas et on verra ce que cela va donner. Il n'y a pas de bras de fer engagé, il y a plutôt des concertations à mener pour trouver la meilleure cadence pour l'application de la convention collective parce qu'il y va de l'intérêt de tous, il y va de la vie des journalistes et il y va aussi de la survie des entreprises de presse parce que s'il n'y a pas de journalistes de qualité ou bien des journalistes bien rémunérés, l'entreprise de presse va disparaître ".
Propos recueillis sur Onuci Fm par CRA (Stagiaire)
Propos recueillis sur Onuci Fm par CRA (Stagiaire)