Réagissant à la récente sortie du président du conseil général de Man, le secrétaire général-adjoint du parti arc-en-ciel estime qu'il n'est pas surpris par les propos de Siki Blon Blaise qu'il juge du reste diffamatoires.
• Comment réagissez-vous face aux attaques de Siki Blon Blaise?
Nous avons longuement écouté et lu les propos de Siki Blon Blaise. Nous les avons jugés trop graves. Ces propos sont insultants, désobligeants pour le président Mabri. Mais nous ne sommes pas surpris par ce que Blon fait actuellement.
• Pourquoi cela ne vous surprend-il pas ?
Nous ne sommes pas surpris parce que depuis longtemps nous le suivons et donc nous savions que nous en arriverons-là. Mais pour l'acte qu'il a posé, je pense que les militants de l'Udpci doivent en tirer toutes les conséquences et toues les leçons. Il a dit des choses très graves sur lesquelles nous allons bientôt revenir. En tout état de cause, l'Udpci et son président ne se sentent pas concernés par ces propos diffamatoires. Ils sont plutôt sereins par rapport au travail qui se fait sur le terrain dans la perspective de l'élection présidentielle du 29 novembre.
• Quel sort lui réservez-vous après cette sortie ? La radiation?
Quand Blon tient des propos comme ceux rapportés par la presse, cela veut dire qu'il n'est plus avec nous.
• Lui se déclare pourtant toujours membre de l'Udpci.
C'est du mensonge. Depuis un certain temps, c'est une tactique que les gens ont adoptée. Ils ne sont plus avec nous mais ils font croire le contraire. On ne peut pas tenir ce genre de propos à l'égard de son président, le candidat de son parti et dire qu'on est avec lui. Ce n'est pas possible. A partir d'aujourd'hui, la direction du parti et les militants doivent tirer toutes les conséquences du départ de Blon. C'est pour cela que le 24 juillet prochain, nous seront à Man pour le dire aux militants. Nous y seront dans le cadre d'une opération de recadrage pour dire aux militants que Gbagbo est passé mais que l'Ouest demeure le bastion de l'Udpci. Nous allons également dire à ceux qui ont un pied dedans et un pied dehors qu'ils doivent se déterminer et nous laisser en paix pour travailler.
Propos recueillis par Marc D.
• Comment réagissez-vous face aux attaques de Siki Blon Blaise?
Nous avons longuement écouté et lu les propos de Siki Blon Blaise. Nous les avons jugés trop graves. Ces propos sont insultants, désobligeants pour le président Mabri. Mais nous ne sommes pas surpris par ce que Blon fait actuellement.
• Pourquoi cela ne vous surprend-il pas ?
Nous ne sommes pas surpris parce que depuis longtemps nous le suivons et donc nous savions que nous en arriverons-là. Mais pour l'acte qu'il a posé, je pense que les militants de l'Udpci doivent en tirer toutes les conséquences et toues les leçons. Il a dit des choses très graves sur lesquelles nous allons bientôt revenir. En tout état de cause, l'Udpci et son président ne se sentent pas concernés par ces propos diffamatoires. Ils sont plutôt sereins par rapport au travail qui se fait sur le terrain dans la perspective de l'élection présidentielle du 29 novembre.
• Quel sort lui réservez-vous après cette sortie ? La radiation?
Quand Blon tient des propos comme ceux rapportés par la presse, cela veut dire qu'il n'est plus avec nous.
• Lui se déclare pourtant toujours membre de l'Udpci.
C'est du mensonge. Depuis un certain temps, c'est une tactique que les gens ont adoptée. Ils ne sont plus avec nous mais ils font croire le contraire. On ne peut pas tenir ce genre de propos à l'égard de son président, le candidat de son parti et dire qu'on est avec lui. Ce n'est pas possible. A partir d'aujourd'hui, la direction du parti et les militants doivent tirer toutes les conséquences du départ de Blon. C'est pour cela que le 24 juillet prochain, nous seront à Man pour le dire aux militants. Nous y seront dans le cadre d'une opération de recadrage pour dire aux militants que Gbagbo est passé mais que l'Ouest demeure le bastion de l'Udpci. Nous allons également dire à ceux qui ont un pied dedans et un pied dehors qu'ils doivent se déterminer et nous laisser en paix pour travailler.
Propos recueillis par Marc D.