La grandeur de feu Me Oula a conduit ses amis à l'honorer à travers une fondation qui porte son nom. La Fondation Oula entend mener des actions d'envergure pour le taekwondo ivoirien.
En hommage à feu capitaine de police, Me Oula Dadeahi Alexis, ceinture noire 4è dan, décédé en 2008, ses compagnons de taekwondo ont mis sur pied, une fondation qui porte son nom. Hier, cette fondation a été portée sur les fonts baptismaux à l'hôtel du district d'Abidjan. Le président exécutif de la fondation Oula, Me Anzoumana Siaka a, dans son adresse, soutenu vouloir perpétuer les œuvres de l'illustre disparu. A travers des actions sociales et de promotion du taekwondo ivoirien. De l'homme, il retient qu'il a consacré 32 ans de sa vie à cet art martial, tant à l'école de police que dans la vie courante. "C'était un homme plein de vie, de projets et d'ambitions pour le taekwondo", a avoué Me Anzoumana. Il a assuré que la fondation Oula va travailler de concert avec la fédération ivoirienne de taekwondo pour le développement harmonieux de cette discipline sud-coréenne. Au nom de la fédération, Me Bamba Cheick Daniel, le président, a réhabilité et rétabli le défunt au sein de la famille du taekwondo et dans son grade. Parce que celui-ci avait été radié par le comité directeur ayant précédé le nouveau dirigé par Me Bamba. Le représentant du directeur général de l'office ivoirien des chargeurs, président de cérémonie, M. Lago Jonas, a reconnu que le défunt a toujours été dévoué pour la cause du taekwondo en Côte d'Ivoire. C'est pourquoi, il a exhorté les responsables de la fondation à poser des actions à la hauteur et à la dimension du disparu. "Cette fondation est un symbole de lutte de ce pratiquant, officier de police, dévoué, travailleur infatigable. Il faut faire en sorte que sa vision et ses idées se ressentent dans vos activités", a conseillé le général Kili Fiacre, parrain et représentant le ministre de l'intérieur, patron de la cérémonie. Le général Kili a fait savoir à la veuve et aux enfants du défunt que la police nationale sera toujours à leurs côtés. Notons que la Fondation, en soutien à la famille de feu Me Oula, a ouvert deux comptes d'épargne pour ses enfants.
Fabrice Tété
En hommage à feu capitaine de police, Me Oula Dadeahi Alexis, ceinture noire 4è dan, décédé en 2008, ses compagnons de taekwondo ont mis sur pied, une fondation qui porte son nom. Hier, cette fondation a été portée sur les fonts baptismaux à l'hôtel du district d'Abidjan. Le président exécutif de la fondation Oula, Me Anzoumana Siaka a, dans son adresse, soutenu vouloir perpétuer les œuvres de l'illustre disparu. A travers des actions sociales et de promotion du taekwondo ivoirien. De l'homme, il retient qu'il a consacré 32 ans de sa vie à cet art martial, tant à l'école de police que dans la vie courante. "C'était un homme plein de vie, de projets et d'ambitions pour le taekwondo", a avoué Me Anzoumana. Il a assuré que la fondation Oula va travailler de concert avec la fédération ivoirienne de taekwondo pour le développement harmonieux de cette discipline sud-coréenne. Au nom de la fédération, Me Bamba Cheick Daniel, le président, a réhabilité et rétabli le défunt au sein de la famille du taekwondo et dans son grade. Parce que celui-ci avait été radié par le comité directeur ayant précédé le nouveau dirigé par Me Bamba. Le représentant du directeur général de l'office ivoirien des chargeurs, président de cérémonie, M. Lago Jonas, a reconnu que le défunt a toujours été dévoué pour la cause du taekwondo en Côte d'Ivoire. C'est pourquoi, il a exhorté les responsables de la fondation à poser des actions à la hauteur et à la dimension du disparu. "Cette fondation est un symbole de lutte de ce pratiquant, officier de police, dévoué, travailleur infatigable. Il faut faire en sorte que sa vision et ses idées se ressentent dans vos activités", a conseillé le général Kili Fiacre, parrain et représentant le ministre de l'intérieur, patron de la cérémonie. Le général Kili a fait savoir à la veuve et aux enfants du défunt que la police nationale sera toujours à leurs côtés. Notons que la Fondation, en soutien à la famille de feu Me Oula, a ouvert deux comptes d'épargne pour ses enfants.
Fabrice Tété