Les initiateurs de Ciné Droit Libre réunis au sein de Ciné Connexion ont lancé, lundi dernier, au Goethe-Institut sis à Cocody, la deuxième édition de l’événement qui va se tenir du 9 au 12 juillet simultanément au Goethe-Institut et au Théâtre de la cité, sis à la Cité universitaire dite Rouge à Cocody.
Ce festival, une plate-forme pour les cinéastes dont les œuvres font l’objet de censure ou connaissent des difficultés quant à leur diffusion, met en avant les films documentaires sur les droits de l’homme et la liberté d’expression.
“La question des droits de l’homme est d’une importance capitale dans l’harmonieau sein d’une société”, a relevé la directrice générale du Goethe-Institut, Verena Passig-Oulaï, dont la structure appuie le festival. Emboîtant ainsi le pas aux trois premiers responsables de Ciné Connexion, Yacouba Sangaré, président, Fortuné Bationo, secrétaire général, et Roger Soumahoro, trésorier général, qui soutiennent qu’“il est temps de tirer la sonnette d’alarme et d’éveiller les consciences sur les violations des droits humains au moment où se profile l’après guerre”.
S’articulant autour de 3 axes (projections de films, atelier de formation aux techniques journalistiques d’écriture sur les films documentaires et forum sur le thème “Afrique : quelles images pour construire l’avenir ?”), ce Ciné Droit libre 2009, co-organisée avec la structure burkinabé Semfilms, diffusera 18 films documentaires dont “Une journée dans la vie de Marie-Madeleine” de l’Ivoirien Serge Bilé.
Marcellin Boguy
Ce festival, une plate-forme pour les cinéastes dont les œuvres font l’objet de censure ou connaissent des difficultés quant à leur diffusion, met en avant les films documentaires sur les droits de l’homme et la liberté d’expression.
“La question des droits de l’homme est d’une importance capitale dans l’harmonieau sein d’une société”, a relevé la directrice générale du Goethe-Institut, Verena Passig-Oulaï, dont la structure appuie le festival. Emboîtant ainsi le pas aux trois premiers responsables de Ciné Connexion, Yacouba Sangaré, président, Fortuné Bationo, secrétaire général, et Roger Soumahoro, trésorier général, qui soutiennent qu’“il est temps de tirer la sonnette d’alarme et d’éveiller les consciences sur les violations des droits humains au moment où se profile l’après guerre”.
S’articulant autour de 3 axes (projections de films, atelier de formation aux techniques journalistiques d’écriture sur les films documentaires et forum sur le thème “Afrique : quelles images pour construire l’avenir ?”), ce Ciné Droit libre 2009, co-organisée avec la structure burkinabé Semfilms, diffusera 18 films documentaires dont “Une journée dans la vie de Marie-Madeleine” de l’Ivoirien Serge Bilé.
Marcellin Boguy