Les femmes exposées professionnellement à des poussières de bois, présentent un plus grand risque d’asthme, de toux ou de bronchite chronique que d’autres ouvrières. Voilà qui ne paraît pas surprenant. Curieusement en revanche, il semblerait selon une étude danoise, que les hommes ne soient pas dans le même cas.
Plus de 1 000 travailleurs du bois ont été suivis pendant 6 ans. Leur état de santé a été comparé à celui d’ouvriers non exposés à des poussières de bois. Tous les participants ont rempli un questionnaire portant principalement sur leur vie professionnelle, leur statut tabagique et l’existence de troubles respiratoires.
Premier résultat, le niveau d’exposition a diminué de façon significative au cours des 6 années de suivi de l’étude, passant de 0,9mg/m3 à 0,6mg/m3. Ces taux se révèlent bien plus faibles que la moyenne européenne.
Et pourtant même avec une exposition trois fois plus faible, l’auteur a observé de nombreux dangers liés aux poussières de bois. Le risque de souffrir de toux ou de bronchite chronique est ainsi 2,3 fois plus élevé pour les travailleuses du bois que pour les autres ouvrières. En revanche, aucun sur-risque n’a été relevé pour les hommes. Ce qui ne manque pas d’interpeler. Pour l’auteur, les femmes sont probablement plus susceptibles que les hommes à la poussière de bois.
www.destinationsante.com
Plus de 1 000 travailleurs du bois ont été suivis pendant 6 ans. Leur état de santé a été comparé à celui d’ouvriers non exposés à des poussières de bois. Tous les participants ont rempli un questionnaire portant principalement sur leur vie professionnelle, leur statut tabagique et l’existence de troubles respiratoires.
Premier résultat, le niveau d’exposition a diminué de façon significative au cours des 6 années de suivi de l’étude, passant de 0,9mg/m3 à 0,6mg/m3. Ces taux se révèlent bien plus faibles que la moyenne européenne.
Et pourtant même avec une exposition trois fois plus faible, l’auteur a observé de nombreux dangers liés aux poussières de bois. Le risque de souffrir de toux ou de bronchite chronique est ainsi 2,3 fois plus élevé pour les travailleuses du bois que pour les autres ouvrières. En revanche, aucun sur-risque n’a été relevé pour les hommes. Ce qui ne manque pas d’interpeler. Pour l’auteur, les femmes sont probablement plus susceptibles que les hommes à la poussière de bois.
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