Le Président de la République, Laurent Gbagbo, pousse sans cesse la Côte d'Ivoire sur le
chemin du développement. Là où toute l'Afrique de l'Ouest attend ce pays.
Grands chantiers pour la République à Yamoussoukro, Zone franche à Grand-Bassam, pont de désenclavement de Jacqueville, pipeline hydraulique à Korhogo, bientôt des autorités de développement dans l'Ouest-montagneux, la Bafing et le Denguélé, etc. Le chef de l'Etat ivoirien, Président Laurent Gbagbo, est résolument au travail, malgré la dynamique de la déstabilisation. Sa hargne à multiplier des chantiers de développement est dans l'ordre des choses, pour ceux qui suivent la vie politique de la Côte d'Ivoire. Depuis le 24 janvier 2003, au titre VIII de l'Accord de Linas-Marcoussis, appelé " Redressement économique et nécessité de la cohésion sociale ", il avait été recommandé au point 2 au Gouvernement de réconciliation, ceci : "Il préparera dans un bref délai un plan de reconstruction et de développement des infrastructures et de relance de l'économie nationale, et de renforcement de la cohésion sociale ". Mais l'échec de cet Accord n'avait pas permis le début de la reconstruction. Une logique qu'a confirmée le Président de la République le 14 juillet 2008, à Séguéla, en rappelant que "La paix encadre le développement" Le début de la relance du développement est rendu possible par l'Accord politique de Ouagadougou (Apo). Et dans son discours où il disait : "Acceptons tous de consentir des sacrifices", Guillaume Soro, qui avait accepté la main tendue du Président Gbagbo dans le cadre du Dialogue direct, annonçait la vision de celui-ci : " En matière de reconstruction, le Gouvernement prépare un programme de portée nationale, en vue de rebâtir le pays et de relancer son économie. Ce programme permettra de donner les moyens à la Côte d'Ivoire de retrouver sa place de leader qu'elle n'a d'ailleurs jamais perdu, en dépit de la crise." Il n'est donc pas surprenant qu'au moment où, avec l'application de l'Apo, naît l'espoir d'une sortie de crise certaine, le Président Gbagbo investisse dans les infrastructures économiques et sociales. Pendant 7 ans, une énorme partie du budget de la Côte d'Ivoire a été consacrée au financement des infrastructures de la paix (Pnddr, Cnpra, Cei, Ins, Sagem, etc.) Il est temps que le pays rattrape son développement durable afin de se positionner véritablement comme le pôle de développement de l'Afrique de l'Ouest. Car ni la volonté politique d'en haut, ni celle des intellectuels, ni la pression populaire d'en bas, ne manquent.
Germain Séhoué
gs05895444@yahoo.fr
chemin du développement. Là où toute l'Afrique de l'Ouest attend ce pays.
Grands chantiers pour la République à Yamoussoukro, Zone franche à Grand-Bassam, pont de désenclavement de Jacqueville, pipeline hydraulique à Korhogo, bientôt des autorités de développement dans l'Ouest-montagneux, la Bafing et le Denguélé, etc. Le chef de l'Etat ivoirien, Président Laurent Gbagbo, est résolument au travail, malgré la dynamique de la déstabilisation. Sa hargne à multiplier des chantiers de développement est dans l'ordre des choses, pour ceux qui suivent la vie politique de la Côte d'Ivoire. Depuis le 24 janvier 2003, au titre VIII de l'Accord de Linas-Marcoussis, appelé " Redressement économique et nécessité de la cohésion sociale ", il avait été recommandé au point 2 au Gouvernement de réconciliation, ceci : "Il préparera dans un bref délai un plan de reconstruction et de développement des infrastructures et de relance de l'économie nationale, et de renforcement de la cohésion sociale ". Mais l'échec de cet Accord n'avait pas permis le début de la reconstruction. Une logique qu'a confirmée le Président de la République le 14 juillet 2008, à Séguéla, en rappelant que "La paix encadre le développement" Le début de la relance du développement est rendu possible par l'Accord politique de Ouagadougou (Apo). Et dans son discours où il disait : "Acceptons tous de consentir des sacrifices", Guillaume Soro, qui avait accepté la main tendue du Président Gbagbo dans le cadre du Dialogue direct, annonçait la vision de celui-ci : " En matière de reconstruction, le Gouvernement prépare un programme de portée nationale, en vue de rebâtir le pays et de relancer son économie. Ce programme permettra de donner les moyens à la Côte d'Ivoire de retrouver sa place de leader qu'elle n'a d'ailleurs jamais perdu, en dépit de la crise." Il n'est donc pas surprenant qu'au moment où, avec l'application de l'Apo, naît l'espoir d'une sortie de crise certaine, le Président Gbagbo investisse dans les infrastructures économiques et sociales. Pendant 7 ans, une énorme partie du budget de la Côte d'Ivoire a été consacrée au financement des infrastructures de la paix (Pnddr, Cnpra, Cei, Ins, Sagem, etc.) Il est temps que le pays rattrape son développement durable afin de se positionner véritablement comme le pôle de développement de l'Afrique de l'Ouest. Car ni la volonté politique d'en haut, ni celle des intellectuels, ni la pression populaire d'en bas, ne manquent.
Germain Séhoué
gs05895444@yahoo.fr
