Le Conseil de l’entente a connu une longue période de léthargie. La plupart des Etats membres, selon Dr. Boni Yayi, président en exercice due l’institution sous-régionale, traversaient des problèmes économiques du fait de la crise économique qui a secoué le continent africain dans les années 80. A ces problèmes, ce sont aujourd’hui ajoutées le crises financière, énergétique et alimentaire. Empêchant les Etats membres d’honorer leurs engagements tels que décidés par les pères fondateurs. A savoir Félix Houphouët-Boigny de la Côte d’Ivoire, Hubert Maga du Dahomey aujourd’hui le Bénin, Maurice Yaméogo de la Haute Volta, actuel Burkina Faso, et Hamani Diori du Niger, à la création à Abidjan du Conseil de l’entente, le vendredi 29 mai 1959.
La volonté politique d’aider l’institution à se repositionner l’institution sous-régionale, par essence politique, a été ressentie par les chefs d’Etats du Bénin, du Faso, de la Côte d’Ivoire et du Niger. Ils se sont donc retrouvés le 17 janvier 2008 à Ouagadougou. La rencontre tripartite tenue le 7 novembre 2008, à Abidjan, a décidé la tenue du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement pour prendre des décisions susceptibles de donner au Conseil de l’entente, un souffle nouveau afin de le mettre en situation de faire face aux défis à relever pour accompagner les ambitions de développement de ses Etats membres, le président en exercice de l’institution, affirmer la volonté politique de redynamiser l’institution.
R.K.
La volonté politique d’aider l’institution à se repositionner l’institution sous-régionale, par essence politique, a été ressentie par les chefs d’Etats du Bénin, du Faso, de la Côte d’Ivoire et du Niger. Ils se sont donc retrouvés le 17 janvier 2008 à Ouagadougou. La rencontre tripartite tenue le 7 novembre 2008, à Abidjan, a décidé la tenue du sommet des chefs d’Etat et de gouvernement pour prendre des décisions susceptibles de donner au Conseil de l’entente, un souffle nouveau afin de le mettre en situation de faire face aux défis à relever pour accompagner les ambitions de développement de ses Etats membres, le président en exercice de l’institution, affirmer la volonté politique de redynamiser l’institution.
R.K.