Plus que 10 jours encore. Et le président du Conseil d’administration du Bureau ivoirien du droit d’auteur (Burida) nouveau sera élu par ses 18 créateurs-membres pour qu’on en finisse avec le long processus de la mise en place de la maison réformée. Mais, déjà, la campagne fait rage, selon le camp que l’on a choisi. C’est dans cette atmosphère que Tantie Oussou a rangé Denis Kah Zion et Aboh Fodjo dans sa ligne de mire, à la suite de leur technique d’approche jugée pour le moins pernicieuse qui annonce la candidature de ce dernier. La chanteuse l’a fait savoir lors d’une conférence de presse, hier, à son domicile des II-Plateaux, entourée de Ken Adamo, Yvie et de Gadji Céli, tous membres du Conseil d’administration issu de l’Union nationale des artistes de Côte d’Ivoire (Unart-CI) comme elle, et Djabo Steck, leur directeur de campagne.
Dénis Kah Zion et Aboh Fodjo…
En fait, la chanteuse accuse le directeur de publication du quotidien Le Nouveau Réveil, éditeur, en complicité avec le procureur général de Bouaké, écrivain et candidat contre l’Unart-CI dont elle est la vice-présidente, d’avoir brocardé son allié Gadji Céli dans les colonnes du quotidien avec une intention malveillante de ternir son image. “Le journaliste veut utiliser son journal pour insulter les gens alors qu’il n’a pas encore fini son devoir. Ce n’est pas bien. Que les nouveaux venus viennent me voir”, a dit Tantie Oussou avant de rappeler : “Le président Houphouët-Boigny avait laissé cette maison à Amédée Pierre à sa demande. Le président Houphouet est parti. Après lui, j’ai demandé la maison au président Laurent Gbagbo. Il m’a donné son OK. Mais à condition que mes frères artistes et moi, nous ne lui fassions pas honte. A ce sujet, il m’a appelé 4 fois. Il n’y avait pas de journaliste ni d’écrivain témoins. D’où viennent donc ces injures contre Gadji. En tout cas, celui qui a provoqué Gadji Céli m’a provoquée. Dites alors à Dénis Kah Zion de rester tranquille. Le procureur, d’où vient-il ? S’il est venu dans le conseil pour être utilisé contre les gens, ça commence déjà bien. Après ce que Irène Vieira (ex-directrice générale du temps où elle était PCA) a fait, on ne veut plus d’homme de droit à ce poste au Burida”.
“Ils ont été battus”
Tantie Oussou a également accusé l’administrateur provisoire du Burida d’avoir financé, en vain, la campagne de Valen Guédé, candidat battu à l’issue d’un tirage au sort, au tour décisif des élections au collège des auteurs, compositeurs, arrangeurs et adaptateurs d’œuvres musicales, le poumon du CA. Pour elle, Armand Obou qui devrait observer la stricte neutralité continue de jouer à un jeu trouble, cette fois-ci derrière Aboh Fodjo.
Tout en affirmant le “respect” qu’elle lui doit en tant que sa “belle-fille”, la conférencière a dit ne pas comprendre les manœuvres souterraines dont se rendrait également complice la réalisatrice Hanny Tchelley. “Ils n’ont qu’à arrêter leurs réunions nocturnes. Ils ont été battus, il faut qu’ils reconnaissent leur défaite. Sinon, elle n’avait qu’à se présenter avec Valen Guédé”, s’est-elle indignée.
Schadé Adédé
Dénis Kah Zion et Aboh Fodjo…
En fait, la chanteuse accuse le directeur de publication du quotidien Le Nouveau Réveil, éditeur, en complicité avec le procureur général de Bouaké, écrivain et candidat contre l’Unart-CI dont elle est la vice-présidente, d’avoir brocardé son allié Gadji Céli dans les colonnes du quotidien avec une intention malveillante de ternir son image. “Le journaliste veut utiliser son journal pour insulter les gens alors qu’il n’a pas encore fini son devoir. Ce n’est pas bien. Que les nouveaux venus viennent me voir”, a dit Tantie Oussou avant de rappeler : “Le président Houphouët-Boigny avait laissé cette maison à Amédée Pierre à sa demande. Le président Houphouet est parti. Après lui, j’ai demandé la maison au président Laurent Gbagbo. Il m’a donné son OK. Mais à condition que mes frères artistes et moi, nous ne lui fassions pas honte. A ce sujet, il m’a appelé 4 fois. Il n’y avait pas de journaliste ni d’écrivain témoins. D’où viennent donc ces injures contre Gadji. En tout cas, celui qui a provoqué Gadji Céli m’a provoquée. Dites alors à Dénis Kah Zion de rester tranquille. Le procureur, d’où vient-il ? S’il est venu dans le conseil pour être utilisé contre les gens, ça commence déjà bien. Après ce que Irène Vieira (ex-directrice générale du temps où elle était PCA) a fait, on ne veut plus d’homme de droit à ce poste au Burida”.
“Ils ont été battus”
Tantie Oussou a également accusé l’administrateur provisoire du Burida d’avoir financé, en vain, la campagne de Valen Guédé, candidat battu à l’issue d’un tirage au sort, au tour décisif des élections au collège des auteurs, compositeurs, arrangeurs et adaptateurs d’œuvres musicales, le poumon du CA. Pour elle, Armand Obou qui devrait observer la stricte neutralité continue de jouer à un jeu trouble, cette fois-ci derrière Aboh Fodjo.
Tout en affirmant le “respect” qu’elle lui doit en tant que sa “belle-fille”, la conférencière a dit ne pas comprendre les manœuvres souterraines dont se rendrait également complice la réalisatrice Hanny Tchelley. “Ils n’ont qu’à arrêter leurs réunions nocturnes. Ils ont été battus, il faut qu’ils reconnaissent leur défaite. Sinon, elle n’avait qu’à se présenter avec Valen Guédé”, s’est-elle indignée.
Schadé Adédé