Les autorités judiciaires veulent réduire, de manière significative, cette pratique devenue le fait de groupes de criminels organisés.
Le ministère de la Justice et des droits de l’homme organise du 15 au 16 juillet, en collaboration avec l’Office des nations unies contre la drogue et le crime (Unodc), un atelier au Golf hôtel. En présence de M. Palé Dimaté, président de la Commission des affaires sociales et culturelles à l’Assemblée nationale. Il s’agit pour les participants de valider l’avant-projet de loi devant être soumis au gouvernement. Mobiliser tous les acteurs nationaux en vue de son adoption par l’Assemblée nationale. Un projet de texte ayant pour objectif de réduire de manière significative ce trafic par la prévention et la répression. Les groupes criminels et les pratiques de corruption sont la cible de cette répression. La migration constituant un enjeu de développement et pour aider les Etats africains à la combattre, un projet a été initié par l’Unodc avec l’appui de l’Espagne. Car ce trafic partant de l’Afrique vers l’Europe, selon les statistiques, rapporte environ 127 milliards de francs de chiffres d’affaires aux passeurs. C’est pourquoi, M. Macario Perdigao, représentant de l’Unodc, a souligné la nécessité d’élaborer un cadre législatif adapté et des mesures visant à renforcer le système judiciaire.
Pour M. Yéo Ali, directeur de cabinet du ministre de la Justice et des droits de l’homme, il est important d’avoir une législation en la matière. Car des groupes de criminels organisés continuent de tirer profit du phénomène en dépit des dangers auxquels sont exposés les migrants clandestins.
Quant à l’ambassadeur d’Espagne, SEMme Cristina Diaz, elle a confié que son pays a décidé d’assister la Côte d’Ivoire et les pays de la Cedeao dans cette lutte. Parce que, dira-t-elle, l’Espagne soutient toute migration légale et toute action concourant au développement dans sa politique de coopération.
Christian Dallet
Le ministère de la Justice et des droits de l’homme organise du 15 au 16 juillet, en collaboration avec l’Office des nations unies contre la drogue et le crime (Unodc), un atelier au Golf hôtel. En présence de M. Palé Dimaté, président de la Commission des affaires sociales et culturelles à l’Assemblée nationale. Il s’agit pour les participants de valider l’avant-projet de loi devant être soumis au gouvernement. Mobiliser tous les acteurs nationaux en vue de son adoption par l’Assemblée nationale. Un projet de texte ayant pour objectif de réduire de manière significative ce trafic par la prévention et la répression. Les groupes criminels et les pratiques de corruption sont la cible de cette répression. La migration constituant un enjeu de développement et pour aider les Etats africains à la combattre, un projet a été initié par l’Unodc avec l’appui de l’Espagne. Car ce trafic partant de l’Afrique vers l’Europe, selon les statistiques, rapporte environ 127 milliards de francs de chiffres d’affaires aux passeurs. C’est pourquoi, M. Macario Perdigao, représentant de l’Unodc, a souligné la nécessité d’élaborer un cadre législatif adapté et des mesures visant à renforcer le système judiciaire.
Pour M. Yéo Ali, directeur de cabinet du ministre de la Justice et des droits de l’homme, il est important d’avoir une législation en la matière. Car des groupes de criminels organisés continuent de tirer profit du phénomène en dépit des dangers auxquels sont exposés les migrants clandestins.
Quant à l’ambassadeur d’Espagne, SEMme Cristina Diaz, elle a confié que son pays a décidé d’assister la Côte d’Ivoire et les pays de la Cedeao dans cette lutte. Parce que, dira-t-elle, l’Espagne soutient toute migration légale et toute action concourant au développement dans sa politique de coopération.
Christian Dallet