L’amélioration de la productivité et de la qualité du cacao passe nécessairement par le traitement efficient du verger. La Côte d’Ivoire, premier producteur mondial du cacao doit tenir son rang et y demeurer durablement. C’est le sens de la cérémonie de lancement de l’opération phytosanitaire qui s’est tenue hier, à l’usine Sifca-coop d’Aboisso. Pour la présente campagne, 812.500 ha seront traités dont 500.000 ha en insecticides et 312.500 ha en fongicides.
Pour le président du Comité de gestion de la filière café-cacao, Gilbert Anoh, “la vision du comité est de promouvoir l’amélioration des conditions socio-économiques des producteurs de café-cacao et de leurs communautés par l’accroissement de leurs revenus”. D’où le vaste programme 2QC (Amélioration de la quantité et de la qualité des produits café-cacao) validé lors de l’atelier de Yamoussoukro tenu les 8 et 9 janvier derniers. Prenant appui sur les expériences antérieures, le président du comité de gestion a mis en garde ceux des producteurs qui prendront le malin plaisir de vendre ou de faire de la rétention sur les produits phytosanitaires. Il a indiqué des partenaires tels que l’Anader, le Firca, l’Ace-ci et Hydrochem vont épauler les comités départementaux de suivi (CDS) dans la sélection des bénéficiaires et la distribution des produits.
A cet effet, selon l’administrateur provisoire du Fonds de développement et de promotion des activités des producteurs de café-cacao (Fdpcc), Patrice Domoraud, la procédure mise en place s’établit comme suit : établissement des listes des bénéficiaires, centralisation des dotations par l’Anader, programme de traitement des parcelles, délivrance des autorisations d’enlèvement des produits, et appui technique aux producteurs. Quant au président du Conseil national des sages, Bléhoué Aka Georges, il a invité tous les producteurs à l’union.
J-S Lia (Envoyé spécial)
Pour le président du Comité de gestion de la filière café-cacao, Gilbert Anoh, “la vision du comité est de promouvoir l’amélioration des conditions socio-économiques des producteurs de café-cacao et de leurs communautés par l’accroissement de leurs revenus”. D’où le vaste programme 2QC (Amélioration de la quantité et de la qualité des produits café-cacao) validé lors de l’atelier de Yamoussoukro tenu les 8 et 9 janvier derniers. Prenant appui sur les expériences antérieures, le président du comité de gestion a mis en garde ceux des producteurs qui prendront le malin plaisir de vendre ou de faire de la rétention sur les produits phytosanitaires. Il a indiqué des partenaires tels que l’Anader, le Firca, l’Ace-ci et Hydrochem vont épauler les comités départementaux de suivi (CDS) dans la sélection des bénéficiaires et la distribution des produits.
A cet effet, selon l’administrateur provisoire du Fonds de développement et de promotion des activités des producteurs de café-cacao (Fdpcc), Patrice Domoraud, la procédure mise en place s’établit comme suit : établissement des listes des bénéficiaires, centralisation des dotations par l’Anader, programme de traitement des parcelles, délivrance des autorisations d’enlèvement des produits, et appui technique aux producteurs. Quant au président du Conseil national des sages, Bléhoué Aka Georges, il a invité tous les producteurs à l’union.
J-S Lia (Envoyé spécial)
