Le sixième enseignement post universitaire initié par la Société des infirmiers anesthésistes diplômés de Côte d’Ivoire (SIADECI) a souhaité, au cours de la formation offerte à ses membres, le 10 juillet dernier, à l’Institut national de la santé publique à Adjamé, renforcer les capacités de ses adhérents. Notamment dans la prise en charge des malades vivant sur le territoire ivoirien, porteurs de maladies cardiovasculaires et devant subir une intervention chirurgicale autre qu’une chirurgie du cœur.
En effet, selon Koffi Omar, le président de ladite organisation, face à la croissance du taux de malades cardiopathes, la prise en charge des malades anesthésiologique devient fréquente et cela nécessite des connaissances avérées, utilisables immédiatement et dans l’urgence. D’où les thèmes allant de la consultation pré-anesthésique en passant par le bloc opératoire pour aboutir aux soins intensifs, a-t-il expliqué. Il a souhaité que les participants tirent le meilleur parti de cette journée de formation. Quant aux assises du premier conseil sociétal, il a indiqué qu’elles ont pour objet d’adopter les conclusions des réflexions menées sur l’organisation du secteur de l’anesthésie en Côte d’Ivoire. En outre, il a relevé les conditions difficiles dans lesquelles travaillent les membres de sa corporation, c’est-à-dire sans aucun appareil de surveillance (les moniteurs de surveillance), ni médicaments à cause de la pénurie fréquente et également sans avantages propres à l’activité.
“Endormir et réveiller un être humain est une lourde responsabilité. Ce n’est pas le fait d’avoir des plaies qui entraîne le stress chez un patient, mais sa vie après l’intervention chirurgicale. Va-t-il survivre à l’anesthésie réanimation ? La vie après l’anesthésie en fait est une grande responsabilité pour le personnel qui a la charge de procéder à cette technique afin de permettre la mise en route des autres techniques devant à terme lui rendre la santé », a-t-il dit.
Djè Abel
En effet, selon Koffi Omar, le président de ladite organisation, face à la croissance du taux de malades cardiopathes, la prise en charge des malades anesthésiologique devient fréquente et cela nécessite des connaissances avérées, utilisables immédiatement et dans l’urgence. D’où les thèmes allant de la consultation pré-anesthésique en passant par le bloc opératoire pour aboutir aux soins intensifs, a-t-il expliqué. Il a souhaité que les participants tirent le meilleur parti de cette journée de formation. Quant aux assises du premier conseil sociétal, il a indiqué qu’elles ont pour objet d’adopter les conclusions des réflexions menées sur l’organisation du secteur de l’anesthésie en Côte d’Ivoire. En outre, il a relevé les conditions difficiles dans lesquelles travaillent les membres de sa corporation, c’est-à-dire sans aucun appareil de surveillance (les moniteurs de surveillance), ni médicaments à cause de la pénurie fréquente et également sans avantages propres à l’activité.
“Endormir et réveiller un être humain est une lourde responsabilité. Ce n’est pas le fait d’avoir des plaies qui entraîne le stress chez un patient, mais sa vie après l’intervention chirurgicale. Va-t-il survivre à l’anesthésie réanimation ? La vie après l’anesthésie en fait est une grande responsabilité pour le personnel qui a la charge de procéder à cette technique afin de permettre la mise en route des autres techniques devant à terme lui rendre la santé », a-t-il dit.
Djè Abel