L’ambassadeur de Bulgarie en France a été reçue en audience, hier, par le Chef de l’état au Palais de la Présidence.
Candidate au poste de directeur général de l’Unesco, l’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Bulgarie en France, déléguée permanente à l’Unesco, SEM. Irina Bokova, a été reçue en audience, hier en fin d’après-midi par le Chef de l’Etat, au Palais de la Présidence. Pour l’ambassadeur Irina Bokova, dans un monde désormais globalisé, il est nécessaire de «renforcer tout le système des Nations unies de manière beaucoup plus démocratique». Parce que, soutient-elle, «quand on parle de la paix, de la culture, de l’éducation, il n’y a pas de grands et petits pays. Tous les pays sont grands».
Elle pense que des idées et des ambitions mises ensemble peuvent contribuer à l’nstauration d’une paix stable dans toutes les régions du monde.
En matière de paix, la Côte d’Ivoire s’est engagée dans un processus depuis l’accord politique de Ouagadougou en mars 2007.
Le Chef de l’Etat et son hôte ont échangé sur la question. Selon SEMme Irina Bokova, le souhait du Président Laurent Gbagbo est que l’Unesco soit «impliquée dans la mise en œuvre des différents projets. En lieu et place des déclarations sur la paix». Parce que la paix ne se fait que sur le terrain.
Faut-il le rappeler, l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) a un conseil exécutif de 58 pays membres, dont la Côte d’Ivoire, élus pour quatre ans. Le Conseil exécutif de l’Unesco se tient en octobre et l’élection du directeur général a lieu en septembre.
Ernest Aka Simon
Candidate au poste de directeur général de l’Unesco, l’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Bulgarie en France, déléguée permanente à l’Unesco, SEM. Irina Bokova, a été reçue en audience, hier en fin d’après-midi par le Chef de l’Etat, au Palais de la Présidence. Pour l’ambassadeur Irina Bokova, dans un monde désormais globalisé, il est nécessaire de «renforcer tout le système des Nations unies de manière beaucoup plus démocratique». Parce que, soutient-elle, «quand on parle de la paix, de la culture, de l’éducation, il n’y a pas de grands et petits pays. Tous les pays sont grands».
Elle pense que des idées et des ambitions mises ensemble peuvent contribuer à l’nstauration d’une paix stable dans toutes les régions du monde.
En matière de paix, la Côte d’Ivoire s’est engagée dans un processus depuis l’accord politique de Ouagadougou en mars 2007.
Le Chef de l’Etat et son hôte ont échangé sur la question. Selon SEMme Irina Bokova, le souhait du Président Laurent Gbagbo est que l’Unesco soit «impliquée dans la mise en œuvre des différents projets. En lieu et place des déclarations sur la paix». Parce que la paix ne se fait que sur le terrain.
Faut-il le rappeler, l’Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco) a un conseil exécutif de 58 pays membres, dont la Côte d’Ivoire, élus pour quatre ans. Le Conseil exécutif de l’Unesco se tient en octobre et l’élection du directeur général a lieu en septembre.
Ernest Aka Simon
