C’est le samedi 15 août 2009 que se sont éteints les lampions de la 3ème édition du Festival des arts et de la culture Dida-Godié (Djaka 2009) en présence du parrain Lida Kouassi Moïse, du Professeur Zakpa Komenan et de nombreuses autres personnalités. Lors de cette journée, le Conseiller spécial du président Gbagbo, Moïse Lida Kouassi, a annoncé la construction très prochaine d’un palais des arts et de la culture Dida-Godié à Akabia.
Pour l’ancien ministre de la Défense, il faut mettre fin à la léthargie que connaît la culture Dida-Godié pour que le « Djaka » ou réjouissance en français puisse prospérer. « Nous célébrons Djaka parce que nous voulons revivre et faire renaître les valeurs de notre région. Nous avons trop célébré les funérailles. Aujourd’hui, nous voulons que la culture soit le ferment de l’unité retrouvée », a expliqué Lida Kouassi Moïse. Selon lui, le peuple Dida se doit, désormais, de (re)construire son identité culturelle afin de pouvoir répondre aux défis du développement. Pour ce faire, il a proposé et même promis, la construction d’un palais des arts et de la culture Dida-Godié qui permettra de promouvoir les arts, la culture et le tourisme en pays Dida, notamment le Sud Bandama. « Je m’emploierai à ce que ce projet se réalise ici (Ndlr : Akabia). Je demanderai très bientôt à la notabilité de dégager un terrain pour la construction de ce palais. Akabia doit demeurer le siège de ce festival biennal », a-t-il insisté. Avant d’exhorter tous les conteurs du Sud Bandama, particulièrement le célèbre conteur de l’ancienne émission télévisée « Mensonges d’un soir », Adou Lyam’s (c’est un ressortissant Dida), à mettre leurs contes sur disquette. Afin de mieux faire connaître les contes du terroir Dida-Godié. Auparavant, le ministre Lida Kouassi a remercié vivement les initiateurs du Festival Djaka, en particulier M. Draman Alexandre, pour cette initiative qui vient réveiller les rythmes et valeurs du pays Dida-Godié.
DY, envoyé spécial
Pour l’ancien ministre de la Défense, il faut mettre fin à la léthargie que connaît la culture Dida-Godié pour que le « Djaka » ou réjouissance en français puisse prospérer. « Nous célébrons Djaka parce que nous voulons revivre et faire renaître les valeurs de notre région. Nous avons trop célébré les funérailles. Aujourd’hui, nous voulons que la culture soit le ferment de l’unité retrouvée », a expliqué Lida Kouassi Moïse. Selon lui, le peuple Dida se doit, désormais, de (re)construire son identité culturelle afin de pouvoir répondre aux défis du développement. Pour ce faire, il a proposé et même promis, la construction d’un palais des arts et de la culture Dida-Godié qui permettra de promouvoir les arts, la culture et le tourisme en pays Dida, notamment le Sud Bandama. « Je m’emploierai à ce que ce projet se réalise ici (Ndlr : Akabia). Je demanderai très bientôt à la notabilité de dégager un terrain pour la construction de ce palais. Akabia doit demeurer le siège de ce festival biennal », a-t-il insisté. Avant d’exhorter tous les conteurs du Sud Bandama, particulièrement le célèbre conteur de l’ancienne émission télévisée « Mensonges d’un soir », Adou Lyam’s (c’est un ressortissant Dida), à mettre leurs contes sur disquette. Afin de mieux faire connaître les contes du terroir Dida-Godié. Auparavant, le ministre Lida Kouassi a remercié vivement les initiateurs du Festival Djaka, en particulier M. Draman Alexandre, pour cette initiative qui vient réveiller les rythmes et valeurs du pays Dida-Godié.
DY, envoyé spécial