Accusée de mettre le feu aux poudres avant et pendant la crise ivoirienne, la presse ivoirienne veut faire taire les critiques à son encontre. C'est dans ce cadre que s'inscrit la semaine nationale de la presse pour la citoyenneté et la paix, qui s'ouvre aujourd'hui.
La presse ivoirienne n'a pas bonne presse auprès des populations. Du fait, disent-elles de sa grande responsabilité dans la survenance de la guerre en Côte d'Ivoire depuis 1999. Cette perception très sombre des médias par les Ivoiriens, interpelle au plus haut niveau, les structures organisationnelles des journalistes. L'union des journalistes de Côte d'Ivoire (Unjci) se préoccupe du bon déroulement des élections générales à venir dans notre pays. Avec en ligne de mire, l'élection présidentielle fixée au 29 novembre prochain. conscient du rôle incontournable et crucial que va jouer la presse avant, pendant et après cette période élection, le président de l'Unjci, Criwa Zéli, a décidé avec son bureau exécutif d'organiser une semaine de la presse pour la citoyenneté et la paix. Elle s'ouvre le 8 et s'achève le 12 septembre prochain. Placée sous la présidence du ministre de la communication, cette semaine aura pour thème central : " Journalisme civique, élections et paix en Côte d'Ivoire ". La semaine nationale de la presse pour la citoyenneté et la paix sera chargée. Aujourd'hui, s'ouvre la conférence inaugurale. Elle est suivie le lendemain par le forum des patrons de presse. L'élément catalyseur de cette semaine, sera le press club. Il aura lieu le 10 septembre et a pour invité spécial, l'ancien premier ministre de la Guinée, Lansana Kouyaté. Ce leader politique guinéen, exposera sur le thème : " La sous-région ouest africaine face aux conflits armés ". Enfin le 11 septembre, une table ronde des journalistes et leaders politiques ivoiriens va précéder la conférence de clôture. C'est un défi que s'est lancé l'Unjci, qui veut marquer son adhésion à la recherche de la paix et de la stabilité en Côte d'Ivoire aux sorties de la présidentielle de novembre.
Fabrice Tété
La presse ivoirienne n'a pas bonne presse auprès des populations. Du fait, disent-elles de sa grande responsabilité dans la survenance de la guerre en Côte d'Ivoire depuis 1999. Cette perception très sombre des médias par les Ivoiriens, interpelle au plus haut niveau, les structures organisationnelles des journalistes. L'union des journalistes de Côte d'Ivoire (Unjci) se préoccupe du bon déroulement des élections générales à venir dans notre pays. Avec en ligne de mire, l'élection présidentielle fixée au 29 novembre prochain. conscient du rôle incontournable et crucial que va jouer la presse avant, pendant et après cette période élection, le président de l'Unjci, Criwa Zéli, a décidé avec son bureau exécutif d'organiser une semaine de la presse pour la citoyenneté et la paix. Elle s'ouvre le 8 et s'achève le 12 septembre prochain. Placée sous la présidence du ministre de la communication, cette semaine aura pour thème central : " Journalisme civique, élections et paix en Côte d'Ivoire ". La semaine nationale de la presse pour la citoyenneté et la paix sera chargée. Aujourd'hui, s'ouvre la conférence inaugurale. Elle est suivie le lendemain par le forum des patrons de presse. L'élément catalyseur de cette semaine, sera le press club. Il aura lieu le 10 septembre et a pour invité spécial, l'ancien premier ministre de la Guinée, Lansana Kouyaté. Ce leader politique guinéen, exposera sur le thème : " La sous-région ouest africaine face aux conflits armés ". Enfin le 11 septembre, une table ronde des journalistes et leaders politiques ivoiriens va précéder la conférence de clôture. C'est un défi que s'est lancé l'Unjci, qui veut marquer son adhésion à la recherche de la paix et de la stabilité en Côte d'Ivoire aux sorties de la présidentielle de novembre.
Fabrice Tété
