Tout se passe comme si le Trésor ivoirien était un panier à crabes. Des crabes, il y en a beaucoup. Mais il faut les distinguer les uns des autres. ceux qui sont les vrais responsables à qui la Banque Mondiale et le FMI (Fonds Mondial International) donnent de l'argent. Le problème est simple : Ces bailleurs de fonds donnent de l'argent à la Côte d'Ivoire à travers des plans de réduction de dette.
L'approvisionnement concernant ces dettes citées plus haut sont au compte des Droits de Tirage Spéciaux (DTS). Mais il se trouve que des relations entre le Trésor Public et les opérateurs économiques, partenaires de l'Etat, les relations sont en dent de scie. La scie qui veut que l'Etat qui bénéficie d'une manne de 300 milliards de Francs CFA ne puisse pas payer ses partenaires au titre de la dette intérieure. Les réclamations des Bailleurs de Fonds (Banque Mondiale et Fonds Monétaire International), n' y ont rien fait. Informé de la situation, le ministre de l'Economie et des Finances actuel, M. Charles Koffi Diby a décidé de livrer une guerre sans merci à certains agents et responsables de la maison dont il est issue. Selon nos enquêtes, il est révélé que le travail jugé remarquable de l' Inspecteur Général du Trésor donne des frayeurs à certains collaborateurs de Mme Djédjé Mama. Le flou entretenu autour du Trésor Public a donné à réfléchir au Ministre Diby qui a lancé, c'est déjà fait, une opération que l'on pourrait appeler '' mains propres''. Nouvelle bien accueillie par Mme Cécile Aké à qui l'Etat ivoirien doit la somme de 300 millions de francs. Menacée d'être expulsée de son domicile car sa maison est menacée de saisie hypothécaire par la COOPEC, elle attend d'être payée. L'attente devra être longue pour elle, car sur place il y a deux personnes reliées par des intérêts qui officient. Il s'agit de M. Kalou Emmanuel et Guibéi Kacou. Eux préfèrent avancer les émoluments de leurs proches que de servir d'autres partenaires de l'Etat. Les ''Cécile Aké'' sont nombreux en Côte d'Ivoire. Certains ont fermé leurs entreprises et envoyé des milliers d'Ivoiriens au chômage pendant que d'autres battent le paver à la Présidence, à la Primature ou encore devant l'immeuble, au centre des affaires de la capitale ivoirienne, où se trouvent les bureaux du Trésor. Il est même annoncé des décès au sein des partenaires de l'Etat qui courent après leur argent. M. Guibei Kacou et ses collaborateurs payeraient à la tête du client. Mme Djédjé Mama en est-elle informée ? Rien de sûr ! Mais toujours est- ils que des réunions se tiennent à la Riviera 2 où des tractations ont lieu en faveur d'épouses de ministres de la République propriétaires de société de ramassage d'ordures. Des sources concordantes sont formelles : un Président d'Institution est mêlée à l'arnaque de la Riviera 2 à Cocody, cité chic d'Abidjan. Le ministre Diby, lui part en campagne contre les brebis galeuses. Koumassi et Tiassalé, des cas avérés auront fait beaucoup de dégâts et terni l'image du Trésor Public ivoirien. La chasse aux brebis galeuses y est déclarée.
Nous y reviendrons.
Traoré. B
L'approvisionnement concernant ces dettes citées plus haut sont au compte des Droits de Tirage Spéciaux (DTS). Mais il se trouve que des relations entre le Trésor Public et les opérateurs économiques, partenaires de l'Etat, les relations sont en dent de scie. La scie qui veut que l'Etat qui bénéficie d'une manne de 300 milliards de Francs CFA ne puisse pas payer ses partenaires au titre de la dette intérieure. Les réclamations des Bailleurs de Fonds (Banque Mondiale et Fonds Monétaire International), n' y ont rien fait. Informé de la situation, le ministre de l'Economie et des Finances actuel, M. Charles Koffi Diby a décidé de livrer une guerre sans merci à certains agents et responsables de la maison dont il est issue. Selon nos enquêtes, il est révélé que le travail jugé remarquable de l' Inspecteur Général du Trésor donne des frayeurs à certains collaborateurs de Mme Djédjé Mama. Le flou entretenu autour du Trésor Public a donné à réfléchir au Ministre Diby qui a lancé, c'est déjà fait, une opération que l'on pourrait appeler '' mains propres''. Nouvelle bien accueillie par Mme Cécile Aké à qui l'Etat ivoirien doit la somme de 300 millions de francs. Menacée d'être expulsée de son domicile car sa maison est menacée de saisie hypothécaire par la COOPEC, elle attend d'être payée. L'attente devra être longue pour elle, car sur place il y a deux personnes reliées par des intérêts qui officient. Il s'agit de M. Kalou Emmanuel et Guibéi Kacou. Eux préfèrent avancer les émoluments de leurs proches que de servir d'autres partenaires de l'Etat. Les ''Cécile Aké'' sont nombreux en Côte d'Ivoire. Certains ont fermé leurs entreprises et envoyé des milliers d'Ivoiriens au chômage pendant que d'autres battent le paver à la Présidence, à la Primature ou encore devant l'immeuble, au centre des affaires de la capitale ivoirienne, où se trouvent les bureaux du Trésor. Il est même annoncé des décès au sein des partenaires de l'Etat qui courent après leur argent. M. Guibei Kacou et ses collaborateurs payeraient à la tête du client. Mme Djédjé Mama en est-elle informée ? Rien de sûr ! Mais toujours est- ils que des réunions se tiennent à la Riviera 2 où des tractations ont lieu en faveur d'épouses de ministres de la République propriétaires de société de ramassage d'ordures. Des sources concordantes sont formelles : un Président d'Institution est mêlée à l'arnaque de la Riviera 2 à Cocody, cité chic d'Abidjan. Le ministre Diby, lui part en campagne contre les brebis galeuses. Koumassi et Tiassalé, des cas avérés auront fait beaucoup de dégâts et terni l'image du Trésor Public ivoirien. La chasse aux brebis galeuses y est déclarée.
Nous y reviendrons.
Traoré. B