Excellence, Monsieur le Premier Ministre, Chef du Gouvernement du Burkina Faso, et cher frère,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Dans les annales de l`Histoire des peuples de la République de Côte d`Ivoire et du Burkina Faso, se trouve libellée en lettres d`or la date du 28 juillet 2008.
Il s`agit d`une date comme il en est peu dans l`évolution de nos nations, qui aspirent légitimement à une vie meilleure et harmonieuse.
Ce jour-là, en effet, leurs Excellences Blaise Compaoré et Laurent Gbagbo engagèrent, pour la postérité, leurs Etats respectifs par un Traité d`Amitié et de Coopération.
Cet acte, non seulement historique et inédit, a inauguré une vision et une volonté partagées des Ivoiriens et des Burkinabè qui souhaitent, désormais, relever ensemble les défis du présent et de l`avenir, en assumant parfaitement l`héritage du passé.
Ainsi vous imaginez la joie qui est la mienne, en ce moment précis de la rencontre au Sommet réunissant les gouvernements de nos deux Etats.
C`est pourquoi, je ne saurais assez saluer la hauteur de vue et la sagesse de nos Chefs d`Etat, qui ont su anticiper la résolution pacifique de la crise ivoirienne, en jetant, si opportunément, les bases d`un partenariat durable entre la Côte d` Ivoire et le Burkina Faso.
Le traité du 29 juillet 2008 est la consécration de notre volonté commune de tisser avec les Etats voisins et frères de véritables relations de coopération et de fraternité fondées sur le respect mutuel, en vue de promouvoir la paix et la sécurité, gages de stabilité de toute la sous-région ouest-africaine.
Excellence,
Mesdames et Messieurs,
L`heure est maintenant venue de la mise en œuvre concrète.
En ce sens, les résultats des travaux et des activités préparatoires de la première rencontre des instances exécutives de nos deux Etats, de Ouagadougou à Abidjan, seront traduits, dans les prochaines heures, en une série de décisions attendues, et par les Ivoiriens, et par les Burkinabè.
A cet égard, je voudrais adresser mes plus sincères félicitations à nos experts et hauts fonctionnaires qui se sont déjà approprié les objectifs stratégiques contenus dans le Traité.
Mais en outre, je voudrais saluer le mérite particulier de nos frères Burkinabé encore sous le choc des dommages causés par les dernières pluies diluviennes ayant endeuillées la communauté nationale à Ouagadougou.
Hier encore, je demandais au Ministre des Affaires Etrangères de faire observer une minute de silence en la mémoire des personnes disparues le 1er septembre 2009.
Tout à l`heure, le Président de la République saura mieux traduire la compassion du peuple ivoirien.
Excellence,
Mesdames et Messieurs,
Chacun a pu noter le climat d`entente cordiale et les échanges constructifs qui ont caractérisés la réunion des experts et celle des ministres sectoriels. Leurs conclusions augurent positivement de l`issue du premier Conseil de Gouvernement conjoint auquel nous prenons part, aujourd`hui.
Nos relations politiques et diplomatiques, la fluidité du trafic, les infrastructures routières et ferroviaires, l`agriculture, la production animale, les ressources halieutiques, l`énergie, les mines, les postes, la communication, les technologies de l`information et de la communication, et bien d`autres question d`intérêts commun.
Voilà ouverts les premiers chantiers qui donneront corps aux rêves communs de nos peuples frères.
Je vous remercie
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Dans les annales de l`Histoire des peuples de la République de Côte d`Ivoire et du Burkina Faso, se trouve libellée en lettres d`or la date du 28 juillet 2008.
Il s`agit d`une date comme il en est peu dans l`évolution de nos nations, qui aspirent légitimement à une vie meilleure et harmonieuse.
Ce jour-là, en effet, leurs Excellences Blaise Compaoré et Laurent Gbagbo engagèrent, pour la postérité, leurs Etats respectifs par un Traité d`Amitié et de Coopération.
Cet acte, non seulement historique et inédit, a inauguré une vision et une volonté partagées des Ivoiriens et des Burkinabè qui souhaitent, désormais, relever ensemble les défis du présent et de l`avenir, en assumant parfaitement l`héritage du passé.
Ainsi vous imaginez la joie qui est la mienne, en ce moment précis de la rencontre au Sommet réunissant les gouvernements de nos deux Etats.
C`est pourquoi, je ne saurais assez saluer la hauteur de vue et la sagesse de nos Chefs d`Etat, qui ont su anticiper la résolution pacifique de la crise ivoirienne, en jetant, si opportunément, les bases d`un partenariat durable entre la Côte d` Ivoire et le Burkina Faso.
Le traité du 29 juillet 2008 est la consécration de notre volonté commune de tisser avec les Etats voisins et frères de véritables relations de coopération et de fraternité fondées sur le respect mutuel, en vue de promouvoir la paix et la sécurité, gages de stabilité de toute la sous-région ouest-africaine.
Excellence,
Mesdames et Messieurs,
L`heure est maintenant venue de la mise en œuvre concrète.
En ce sens, les résultats des travaux et des activités préparatoires de la première rencontre des instances exécutives de nos deux Etats, de Ouagadougou à Abidjan, seront traduits, dans les prochaines heures, en une série de décisions attendues, et par les Ivoiriens, et par les Burkinabè.
A cet égard, je voudrais adresser mes plus sincères félicitations à nos experts et hauts fonctionnaires qui se sont déjà approprié les objectifs stratégiques contenus dans le Traité.
Mais en outre, je voudrais saluer le mérite particulier de nos frères Burkinabé encore sous le choc des dommages causés par les dernières pluies diluviennes ayant endeuillées la communauté nationale à Ouagadougou.
Hier encore, je demandais au Ministre des Affaires Etrangères de faire observer une minute de silence en la mémoire des personnes disparues le 1er septembre 2009.
Tout à l`heure, le Président de la République saura mieux traduire la compassion du peuple ivoirien.
Excellence,
Mesdames et Messieurs,
Chacun a pu noter le climat d`entente cordiale et les échanges constructifs qui ont caractérisés la réunion des experts et celle des ministres sectoriels. Leurs conclusions augurent positivement de l`issue du premier Conseil de Gouvernement conjoint auquel nous prenons part, aujourd`hui.
Nos relations politiques et diplomatiques, la fluidité du trafic, les infrastructures routières et ferroviaires, l`agriculture, la production animale, les ressources halieutiques, l`énergie, les mines, les postes, la communication, les technologies de l`information et de la communication, et bien d`autres question d`intérêts commun.
Voilà ouverts les premiers chantiers qui donneront corps aux rêves communs de nos peuples frères.
Je vous remercie
