Le dossier de candidature du président de l’Union pour la démocratie et pour la paix (UDPCI) a été réceptionné le mercredi 14 octobre 2009 par le secrétaire général permanent de la Commission électorale indépendante (CEI), Auguste Sévérin Miremont.
« Nous allons parler de notre projet de société aux Ivoiriens. Nous allons leur montrer que nous avons les capacités d’assurer la renaissance de la Côte d’Ivoire qui subit actuellement la déliquescence de ses institutions. Nous vivons tous le drame des populations, en matière d’éducation, de santé. Nous allons surtout faire fonctionner l’Etat, pour que tout le monde sente qu’il y a la justice. Beaucoup de discours se tiendront pendant la campagne, mais nous ouvrons la voie de l’espoir et nous parlerons aux Ivoiriens avec des arguments et non des muscles », a indiqué le secrétaire général de l’UDPCI, après avoir fait acte de candidature pour le compte de son président, El Hadj Abdallah Mabri Toikeusse. Les retrouvailles ont été très chaleureuses entre la délégation de l’UDPCI conduite par son secrétaire général, le Pr Alassane Moussa Salif Daouda N’diaye et Auguste Sévérin Miremont, secrétaire général permanent de la CEI, qui avait à ses côtés son adjoint, Bamba Yacouba. Le temps des civilités passé, le secrétaire général de l’UDPCI a remis à la CEI, les pièces afférentes à la candidature du Dr Albert Toikeusse Mabri, qui fait partie de la première catégorie de candidats, c’est-à-dire les signataires de l’accord de Linas-Marcoussis. Il s’agit notamment de déclaration personnelle de candidature, de la lettre d’investiture de sa formation politique et du reçu de cautionnement de 20 millions de FCFA versés au Trésor public. Après les vérifications d’usage, Auguste Sévérin Miremont lui a remis le récépissé provisoire de dépôt de candidature. « Votre dossier est à jour. Nous allons le porter à la signature du président de la CEI et le transmettre dès aujourd’hui au Conseil constitutionnel. Une copie ira chez le représentant du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire et une autre chez le représentant spécial du facilitateur de l’accord de Ouagadougou », a assuré le secrétaire général permanent de la CEI, qui a souhaité bon vent au candidat de son parti, Albert Toikeusse Mabri.
Olivier Dion
« Nous allons parler de notre projet de société aux Ivoiriens. Nous allons leur montrer que nous avons les capacités d’assurer la renaissance de la Côte d’Ivoire qui subit actuellement la déliquescence de ses institutions. Nous vivons tous le drame des populations, en matière d’éducation, de santé. Nous allons surtout faire fonctionner l’Etat, pour que tout le monde sente qu’il y a la justice. Beaucoup de discours se tiendront pendant la campagne, mais nous ouvrons la voie de l’espoir et nous parlerons aux Ivoiriens avec des arguments et non des muscles », a indiqué le secrétaire général de l’UDPCI, après avoir fait acte de candidature pour le compte de son président, El Hadj Abdallah Mabri Toikeusse. Les retrouvailles ont été très chaleureuses entre la délégation de l’UDPCI conduite par son secrétaire général, le Pr Alassane Moussa Salif Daouda N’diaye et Auguste Sévérin Miremont, secrétaire général permanent de la CEI, qui avait à ses côtés son adjoint, Bamba Yacouba. Le temps des civilités passé, le secrétaire général de l’UDPCI a remis à la CEI, les pièces afférentes à la candidature du Dr Albert Toikeusse Mabri, qui fait partie de la première catégorie de candidats, c’est-à-dire les signataires de l’accord de Linas-Marcoussis. Il s’agit notamment de déclaration personnelle de candidature, de la lettre d’investiture de sa formation politique et du reçu de cautionnement de 20 millions de FCFA versés au Trésor public. Après les vérifications d’usage, Auguste Sévérin Miremont lui a remis le récépissé provisoire de dépôt de candidature. « Votre dossier est à jour. Nous allons le porter à la signature du président de la CEI et le transmettre dès aujourd’hui au Conseil constitutionnel. Une copie ira chez le représentant du secrétaire général de l’ONU en Côte d’Ivoire et une autre chez le représentant spécial du facilitateur de l’accord de Ouagadougou », a assuré le secrétaire général permanent de la CEI, qui a souhaité bon vent au candidat de son parti, Albert Toikeusse Mabri.
Olivier Dion