Huit années de vie commune couronnées par les naissances de trois gosses n’ont pas suffi et satisfait Groguhé Albert sur le plan sexuel. Il a attenté à la vie de sa femme, tout simplement parce qu’elle a refusé de lui céder 5 minutes de plaisir. Mais comment en est-on arrivé à cette situation ?
Interné à la chambre N°8 de l’hôpital général d’Anyama, depuis 2 jours, au service de chirurgie dans un état pitoyable, dame Gréhou Affoué Hortense, âgée de 25 ans, originaire de Agbahou dans la S/P de Divo, maudit ce jour où elle a été approchée par le Sieur Groguhé qui lui a proposé le mariage. Il n’était jamais venu à l’esprit de Hortense qu’un jour, cet amour deviendrait aigu et entraînerait une jalousie atroce. Il y a huit ans à Taago, un village de Sassandra, Groguhé Albert et Gréhou Affoué Hortense venaient de faire connaissance et décidaient de se mettre ensemble.
Les deux enfants que Hortense avait eus d’un premier lit n’ont constitué aucun obstacle à la décision de Groguhé Albert, bété de Daloa. Après leur union, le couple décide de s’installer à Anyama-Adjamé, un village de la commune d’Anyama. 08 années après, trois gosses sont nés de cette vie de couple. Comme dans tous les foyers, de temps en temps, de petites palabres arrivaient et se réglaient. Groguhé Albert avec l’aide de sa femme qui faisait le commerce d’attiéké, arrivait à satisfaire les besoins de la petite famille, jusqu’à ce que dans la première semaine de ce mois d’octobre, Groguhé Albert, comme tout bon mari, n’appréciant pas que sa femme soit « sans papier » lui remette de l’argent pour aller se faire une attestation d’identité à Divo. De retour du long et périlleux voyage, très fatiguée et se sentant malade, Hortense refusa de céder à l’acte sexuel désiré par son mari. Dans la nuit du troisième jour de son retour de son voyage, ce dernier la réveille tard dans la nuit avec des palabres suivies d’injures malveillantes.
Selon Hortense, son mari l’accuse d’avoir eu des rapports intimes au village ce qui expliquerait la raison pour laquelle elle se sent fatiguée et malade. Ce vendredi 16 octobre, comme d’habitude, il lui remet l’argent pour faire le marché. En compagnie de sa grande sœur et après avoir fini de préparer, Hortense s’apprêtait à servir le repas quand apparaît son mari qui lui fait des histoires.
Sans se faire prier, ce dernier sort une machette bien aiguisée de son pantalon et envoie un coup au bras droit de sa femme. Affolée, à la recherche de secours dans sa fuite, elle tombe. Albert se rue sur elle et lui administre d’autres coups de machette à la tête et au bras gauche. Elle a eu les tendons et l’os du bras droit cassés. Sa vie a été sauvée de justesse grâce à la promptitude d’un jeune villageois attiré par les cris de la sœur de Hortense. Aujourd’hui, couchée dans un lit d’hôpital, Gréhou Affoué Hortense se demande si l’acte posé par son sieur mari a été prémédité.
Elle qui n’a jamais, selon ses dires, trompé son mari. Groguhé Albert, quant à lui, croupi au violon de la brigade de gendarmerie d’Anyama, attendant d’être déféré et jugé selon la loi. Selon quelques témoignages recueillis, Groguhé Albert voulait tuer sa femme et par la suite se donner la mort.
Interné à la chambre N°8 de l’hôpital général d’Anyama, depuis 2 jours, au service de chirurgie dans un état pitoyable, dame Gréhou Affoué Hortense, âgée de 25 ans, originaire de Agbahou dans la S/P de Divo, maudit ce jour où elle a été approchée par le Sieur Groguhé qui lui a proposé le mariage. Il n’était jamais venu à l’esprit de Hortense qu’un jour, cet amour deviendrait aigu et entraînerait une jalousie atroce. Il y a huit ans à Taago, un village de Sassandra, Groguhé Albert et Gréhou Affoué Hortense venaient de faire connaissance et décidaient de se mettre ensemble.
Les deux enfants que Hortense avait eus d’un premier lit n’ont constitué aucun obstacle à la décision de Groguhé Albert, bété de Daloa. Après leur union, le couple décide de s’installer à Anyama-Adjamé, un village de la commune d’Anyama. 08 années après, trois gosses sont nés de cette vie de couple. Comme dans tous les foyers, de temps en temps, de petites palabres arrivaient et se réglaient. Groguhé Albert avec l’aide de sa femme qui faisait le commerce d’attiéké, arrivait à satisfaire les besoins de la petite famille, jusqu’à ce que dans la première semaine de ce mois d’octobre, Groguhé Albert, comme tout bon mari, n’appréciant pas que sa femme soit « sans papier » lui remette de l’argent pour aller se faire une attestation d’identité à Divo. De retour du long et périlleux voyage, très fatiguée et se sentant malade, Hortense refusa de céder à l’acte sexuel désiré par son mari. Dans la nuit du troisième jour de son retour de son voyage, ce dernier la réveille tard dans la nuit avec des palabres suivies d’injures malveillantes.
Selon Hortense, son mari l’accuse d’avoir eu des rapports intimes au village ce qui expliquerait la raison pour laquelle elle se sent fatiguée et malade. Ce vendredi 16 octobre, comme d’habitude, il lui remet l’argent pour faire le marché. En compagnie de sa grande sœur et après avoir fini de préparer, Hortense s’apprêtait à servir le repas quand apparaît son mari qui lui fait des histoires.
Sans se faire prier, ce dernier sort une machette bien aiguisée de son pantalon et envoie un coup au bras droit de sa femme. Affolée, à la recherche de secours dans sa fuite, elle tombe. Albert se rue sur elle et lui administre d’autres coups de machette à la tête et au bras gauche. Elle a eu les tendons et l’os du bras droit cassés. Sa vie a été sauvée de justesse grâce à la promptitude d’un jeune villageois attiré par les cris de la sœur de Hortense. Aujourd’hui, couchée dans un lit d’hôpital, Gréhou Affoué Hortense se demande si l’acte posé par son sieur mari a été prémédité.
Elle qui n’a jamais, selon ses dires, trompé son mari. Groguhé Albert, quant à lui, croupi au violon de la brigade de gendarmerie d’Anyama, attendant d’être déféré et jugé selon la loi. Selon quelques témoignages recueillis, Groguhé Albert voulait tuer sa femme et par la suite se donner la mort.
