La grève des producteurs de café-cacao est à son troisième jour aujourd’hui. Le fait marquant est qu’ils menacent de brûler le cacao, si…
Une vingtaine de camions bloqués au corridor d’Elibou, ce qui a contraint le sous-préfet de Ndouci à entrer en scène pour demander que la voie publier ne soit pas obstruée. Un meeting géant animé au rond point de Divo par les producteurs venus des quatre coins de cette région. Voici le bilan partiel de la 2ème journée de la grève illimitée lancée par les producteurs des 17 régions productrices de café-cacao, depuis le lundi dernier. Hier, quand nous l’avons joint au téléphone, Oulaï Tchélan, le principal initiateur de cette grève, a dit que les éléments de la gendarmerie en poste au corridor d’Elibou, face au grand nombre des camions que les producteurs gréviste ont bloqués, ont demandé à ces derniers de faire quelque chose allant dans le sens de la sécurité des engins et de leurs cargaisons. « Après discussions devant le sous-préfet, nous avons convenu de faire entrer les camions chargés de cacao dans le village. Ils y sont stationnés », nous a-t-il appris. Le président de la Centrale syndicale a ajouté que « dès jeudi, si Ano Gilbert n’a pas revu sa copie, nous allons inviter les médias et bruler le cacao en leur présence. Nous ne plaisantons pas. Mieux vaut brûler ce cacao pour interpeller les autorités que subir le manque de considération de Gilbert Ano pour les producteurs ». Pour sa part, M. Soumahoro, premier responsable du Synapci, a précisé que le président du comité de gestion s’est transformé en acheteur de produits sur le terrain. Tous deux ont demandé sa démission, pour la mise en place des structures définitives. « Gilbert Ano ne travaille pas pour le bien des producteurs. Qu’il s’en aille. Nous ne voulons plus l’avoir en face. Nous voulons discuter de nos problèmes avec le Premier ministre », a martelé Oulaï Tchélan. Il terminé par une mise en garde contre des Libanais qui s’infiltrent dans les zones de production pour briser leur grève. A l’en croire, le mouvement est suivi.
BT.
Une vingtaine de camions bloqués au corridor d’Elibou, ce qui a contraint le sous-préfet de Ndouci à entrer en scène pour demander que la voie publier ne soit pas obstruée. Un meeting géant animé au rond point de Divo par les producteurs venus des quatre coins de cette région. Voici le bilan partiel de la 2ème journée de la grève illimitée lancée par les producteurs des 17 régions productrices de café-cacao, depuis le lundi dernier. Hier, quand nous l’avons joint au téléphone, Oulaï Tchélan, le principal initiateur de cette grève, a dit que les éléments de la gendarmerie en poste au corridor d’Elibou, face au grand nombre des camions que les producteurs gréviste ont bloqués, ont demandé à ces derniers de faire quelque chose allant dans le sens de la sécurité des engins et de leurs cargaisons. « Après discussions devant le sous-préfet, nous avons convenu de faire entrer les camions chargés de cacao dans le village. Ils y sont stationnés », nous a-t-il appris. Le président de la Centrale syndicale a ajouté que « dès jeudi, si Ano Gilbert n’a pas revu sa copie, nous allons inviter les médias et bruler le cacao en leur présence. Nous ne plaisantons pas. Mieux vaut brûler ce cacao pour interpeller les autorités que subir le manque de considération de Gilbert Ano pour les producteurs ». Pour sa part, M. Soumahoro, premier responsable du Synapci, a précisé que le président du comité de gestion s’est transformé en acheteur de produits sur le terrain. Tous deux ont demandé sa démission, pour la mise en place des structures définitives. « Gilbert Ano ne travaille pas pour le bien des producteurs. Qu’il s’en aille. Nous ne voulons plus l’avoir en face. Nous voulons discuter de nos problèmes avec le Premier ministre », a martelé Oulaï Tchélan. Il terminé par une mise en garde contre des Libanais qui s’infiltrent dans les zones de production pour briser leur grève. A l’en croire, le mouvement est suivi.
BT.