«Le parlement panafricain doit jouer le rôle de leader dans le projet de démocratisation de l’Afrique », a estimé Jacob Zuma, le président Sud-Africain, le lundi 26 octobre, à l’ouverture officielle des travaux de la première session ordinaire de la deuxième législature du parlement panafricain à Midrand en Afrique du Sud. Pour ce faire, il a souhaité que cette structure de l’Union Africaine, qui a jusque-là eu un rôle consultatif, devienne d’ici 2011, « une institution avec les pleins pouvoirs législatifs, dont les membres sont élus au suffrage universel ». Jacob Zuma a donc invité l’ensemble des pays africains à ratifier le protocole d’établissement de ce parlement.
En vue d’harmoniser et coordonner les politiques nationales et régionales pour le bien-être des populations. Parce qu’à l’en croire, « c’est une institution importante pour l’unité et la renaissance de l’Afrique ».
« Il est possible pour chaque pays d’améliorer sa situation. Mais il est certain que c’est en travaillant ensemble que nous pourrons y arriver », a d’ailleurs révélé le président de la République d’Afrique du Sud. Pour insister sur le rôle que pourrait jouer le parlement panafricain dans l’intégration politique des pays africains. « Nous devons collaborer entre nous plutôt que de le faire d’autres pays. Parce que ce sont des obstacles au progrès de notre continent(…) c’est ainsi que nous pourront exploiter les importantes ressources de l’Afrique », a-t-il de ce fait conseillé. Tout en souhaitant que la prochaine coupe du monde prévue pour se tenir en 2010 en Afrique du Sud soit le moteur de cette unité africaine.
En vue d’harmoniser et coordonner les politiques nationales et régionales pour le bien-être des populations. Parce qu’à l’en croire, « c’est une institution importante pour l’unité et la renaissance de l’Afrique ».
« Il est possible pour chaque pays d’améliorer sa situation. Mais il est certain que c’est en travaillant ensemble que nous pourrons y arriver », a d’ailleurs révélé le président de la République d’Afrique du Sud. Pour insister sur le rôle que pourrait jouer le parlement panafricain dans l’intégration politique des pays africains. « Nous devons collaborer entre nous plutôt que de le faire d’autres pays. Parce que ce sont des obstacles au progrès de notre continent(…) c’est ainsi que nous pourront exploiter les importantes ressources de l’Afrique », a-t-il de ce fait conseillé. Tout en souhaitant que la prochaine coupe du monde prévue pour se tenir en 2010 en Afrique du Sud soit le moteur de cette unité africaine.