“ … Le Comité directeur de Tiassalé Handball Club, par ma voix, voudrait, en toute sincérité, présenter ses excuses à la Nation ivoirienne. Je voudrais présenter mes excuses à mes frères présidents de clubs, au ministère et à la Fédération ivoirienne de handball (Fihb) ". Ainsi se résume le plaidoyer de Serge Etien Pétémé, le président de Tiassalé Hbc, samedi dernier à la Bourse du Travail, à Treichville.
Lui et ses plus proches collaborateurs ont, en effet, co-animé une conférence de presse pour solliciter la clémence du président de la Fihb, Joseph Ouéréga. Qui, suite à leur refus de disputer la finale de la Coupe nationale de Côte d'Ivoire le 8 août dernier, les avait suspendus deux jours plus tard, soit le 10 août. En présence du représentant de la tutelle Luc Ourigou et du deuxième vice-président de la Fihb, Martin Yao, les dirigeants du club de Tiassalé ont regretté leurs actes et attitudes qui ont précédé ces incidents au lendemain du jour anniversaire de l'indépendance de la Côte d'Ivoire. Presqu'en chœur, ils ont mis ces événements regrettables sur le compte de l'inexpérience. " Ce que nous voyons, c'est l'intérêt du handball ivoirien, ont-ils reconnu humblement. Nous sommes des éducateurs et nous devrions donner l'exemple. Nous souhaitons donc que la Fihb fasse table rase sur ce qui s'était passé". Serge Etien Pétémé, Gilbert Bony et leurs camarades, pour faire montre leur détermination à aller à la paix, ont fait mention de ce que leur avocat a adressé un courrier à la tutelle. Pour renoncer à la poursuite judiciaire qu'ils avaient engagée à ce propos. Au terme de la conférence, Martin Yao, l'envoyé de Joseph Ouéréga, a dit qu'il a pris acte. Et que dans la dynamique de la réconciliation nationale, la Fihb se prononcera sur le pardon de Tiassalé.
E.Djabia
Lui et ses plus proches collaborateurs ont, en effet, co-animé une conférence de presse pour solliciter la clémence du président de la Fihb, Joseph Ouéréga. Qui, suite à leur refus de disputer la finale de la Coupe nationale de Côte d'Ivoire le 8 août dernier, les avait suspendus deux jours plus tard, soit le 10 août. En présence du représentant de la tutelle Luc Ourigou et du deuxième vice-président de la Fihb, Martin Yao, les dirigeants du club de Tiassalé ont regretté leurs actes et attitudes qui ont précédé ces incidents au lendemain du jour anniversaire de l'indépendance de la Côte d'Ivoire. Presqu'en chœur, ils ont mis ces événements regrettables sur le compte de l'inexpérience. " Ce que nous voyons, c'est l'intérêt du handball ivoirien, ont-ils reconnu humblement. Nous sommes des éducateurs et nous devrions donner l'exemple. Nous souhaitons donc que la Fihb fasse table rase sur ce qui s'était passé". Serge Etien Pétémé, Gilbert Bony et leurs camarades, pour faire montre leur détermination à aller à la paix, ont fait mention de ce que leur avocat a adressé un courrier à la tutelle. Pour renoncer à la poursuite judiciaire qu'ils avaient engagée à ce propos. Au terme de la conférence, Martin Yao, l'envoyé de Joseph Ouéréga, a dit qu'il a pris acte. Et que dans la dynamique de la réconciliation nationale, la Fihb se prononcera sur le pardon de Tiassalé.
E.Djabia