La principale voie, « Y4 » au quartier Pk 18, derrière le pont de l’échangeur du chemin de fer dans la commune d’Abobo est totalement hors d’usage. Cela dure plusieurs mois. A des endroits, le bitume a laissé la place à la boue et des flaques d’eau avec de grosses rigoles, des mares et des nids de poules. Le tronçon le plus touché se trouve en face de la pharmacie Safir jusqu’au carrefour Diallo. Et pourtant, c’est une voie à grande circulation. En effet, elle relie la commune d’Abobo, à celles de Yopougon et d’Anyama et dessert les villes d’Agboville, Azaguié, Adzopé, Akoupé, Abengourou, Bondoukou… à partir de la gare routière d’Adjamé.
Malheureusement la dégradation de la voie « Y4 » semble ne pas préoccuper les autorités compétentes. Attendent-elles que l’irréparable se produise avant d’agir ? Des véhicules de transport en commun (cars, mini- cars, Gbaka, taxis…) s’embourbent en cet endroit.
La situation perturbe la circulation en créant des embouteillages surtout aux heures de pointes et surtout les week-end. « Il y a longtemps que la route est abîmée. Nous avons pensé que l’Etat allait la prendre en compte dans le plan de réhabilitation des routes intérieures du District d’Abidjan dont a bénéficié la route du zoo, dans la même commune. Je me rends compte que ça n’a pas été le cas et le calvaire des usagers de ce tronçon continue. Mais pour combien de temps encore ? » s’interroge Boubacar Seydou, chauffeur de wôrô-wôrô.
Les pluies diluviennes qui tombent ces derniers temps ont eu raison de la volonté des jeunes gens, qui par moment, essayaient de colmater les grands trous avec des matériaux de fortune, moyennant quelques pièces d’argent de la part des usagers.
Les usagers sont d’autant plus révoltés que cette route avait été réhabilitée entre 2006 et 2007 à coups de millions de francs Cfa. « On se demande comment le travail a été réalisé pour qu’en l’espace de 2 ans cette route soit redevenue impraticable », souligne un habitant de ce quartier.
S’agissant des facteurs de dégradation du bitume, outre l’érosion pluviale, il faut ajouter l’installation des stations de lavage de voitures de part et d’autre de la route.
Les eaux usées rejetées par ces stations ruissellent sur la chaussée et les trottoirs, les dégradant. Surtout qu’il n’y a pas de caniveaux sur toute la longueur de la voie (1, 5 Km environ) du carrefour d’Anyama au corridor N’Dotré.
Vivement, que quelque chose soit faite pour atténuer le calvaire des habitants du quartier et celui des usagers de cette voie.
ALFRED KOUAME
Malheureusement la dégradation de la voie « Y4 » semble ne pas préoccuper les autorités compétentes. Attendent-elles que l’irréparable se produise avant d’agir ? Des véhicules de transport en commun (cars, mini- cars, Gbaka, taxis…) s’embourbent en cet endroit.
La situation perturbe la circulation en créant des embouteillages surtout aux heures de pointes et surtout les week-end. « Il y a longtemps que la route est abîmée. Nous avons pensé que l’Etat allait la prendre en compte dans le plan de réhabilitation des routes intérieures du District d’Abidjan dont a bénéficié la route du zoo, dans la même commune. Je me rends compte que ça n’a pas été le cas et le calvaire des usagers de ce tronçon continue. Mais pour combien de temps encore ? » s’interroge Boubacar Seydou, chauffeur de wôrô-wôrô.
Les pluies diluviennes qui tombent ces derniers temps ont eu raison de la volonté des jeunes gens, qui par moment, essayaient de colmater les grands trous avec des matériaux de fortune, moyennant quelques pièces d’argent de la part des usagers.
Les usagers sont d’autant plus révoltés que cette route avait été réhabilitée entre 2006 et 2007 à coups de millions de francs Cfa. « On se demande comment le travail a été réalisé pour qu’en l’espace de 2 ans cette route soit redevenue impraticable », souligne un habitant de ce quartier.
S’agissant des facteurs de dégradation du bitume, outre l’érosion pluviale, il faut ajouter l’installation des stations de lavage de voitures de part et d’autre de la route.
Les eaux usées rejetées par ces stations ruissellent sur la chaussée et les trottoirs, les dégradant. Surtout qu’il n’y a pas de caniveaux sur toute la longueur de la voie (1, 5 Km environ) du carrefour d’Anyama au corridor N’Dotré.
Vivement, que quelque chose soit faite pour atténuer le calvaire des habitants du quartier et celui des usagers de cette voie.
ALFRED KOUAME