Directeur de publication de "Le Nouveau Réveil", Patrice Yao, en sa qualité de président du comité d'organisation du séminaire du groupe de presse " Le Réveil ", explique ici les enjeux dudit séminaire et rassure que tout est fin prêt pour la grande rencontre au complexe Akparo à Dabou, les 21 et 22 novembre 2009.
M. Patrice Yao, vous êtes le président du Comité d'organisation du séminaire du groupe " Le Réveil ". Après le rendez-vous manqué d'il y a un mois, confirmez-vous la tenue dudit séminaire ce week-end comme annoncé ?
Je voudrais d'entrée remercier toutes les personnalités, tous les invités, les panélistes et les travailleurs du groupe " Le Réveil " et en même temps leur présenter toutes nos excuses pour les désagréments que le report a dû causer. C'était un report indépendant de notre volonté, puisque tout le monde se souvient que nous devions faire ce séminaire à la fin du mois d'octobre, mais nous avons fait l'objet d'agression de la part des étudiants de l'Unesci. On a donc décalé le séminaire pour les 21 et 22 novembre 2009, c'est-à-dire samedi et dimanche prochains au complexe Akparo à Dabou. Entre-temps, nous avons géré cette crise consécutive à la descente musclée de l'Unesci dans nos locaux. Je rappelle que toutes les personnalités que nous avions invitées seront là, tout le monde a confirmé sa présence. Tout est mis en œuvre pour que le séminaire se déroule dans de bonnes conditions. Nous confirmons donc le séminaire pour les 21 et 22 novembre 2009.
Il y a eu un report. Ce changement de date n'a-t-il pas eu une répercussion sur le programme du séminaire ? Les séminaristes auront-ils droit à la formation qui avait été annoncée?
Oui, la formation se fera. Il y a eu juste un décalage de temps. On a dû reporter pour des raisons que je viens d'évoquer. Il n'y a vraiment pas de raison que nous ne fassions pas la formation. Le contenu du séminaire reste le même. Nous sommes dans une période électorale. En tant que journalistes et travailleurs d'un groupe de presse, nous avons besoin d'une remise à niveau et d'un renforcement des capacités avec des spécialistes et certaines personnalités politiques. Le thème principal est le suivant : " Quel journalisme en période électorale ? Le cas de la Côte d'Ivoire ". C'est un thème enrichissant quand on connait les difficultés que vit notre pays depuis 2002. Le panéliste du sous-thème qui en découle est M. Zio Moussa, président de l'Olped (Observatoire de la liberté de la presse de l'éthique et de la déontologie). Ce journaliste émérite prononcera donc la conférence inaugurale sur le thème : " Journaliste professionnel en période électorale : quelles attentes ? ". Ce thème, je le répète est d'à-propos compte tenu de la situation que nous traversons. Me Bourgoin, secrétaire général du Conseil national de la presse (Cnp), animera un autre sous-thème à savoir : " Le respect de l'éthique, de la déontologie et de la mise en œuvre de la plate-forme de collaboration Cei-presse ". " Animation et cohabitation de deux rédactions et exploitation des Ntic en période électorale " va être animé par M. Charles Diagne, journaliste, enseignant, secrétaire de rédaction. Fabrice Sawegnon, directeur général de Voodoo Communication, développera le sous-thème : " Le groupe de presse " Le Réveil " : quelles stratégies de marketing et quelle politique commerciale en période électorale ? ". M. Marius Comoé, président des Associations des consommateurs actifs de Côte d'Ivoire (Facaci), animera le sous-thème : " Le regard des consommateurs actifs de Côte d'Ivoire ". Enfin, il y a des points politiques qui seront abordés. Il y aura donc, une rencontre entre le personnel du groupe " Le Réveil " et la direction du Pdci-Rda. Le Directeur général, M Denis Kah Zion, à l'occasion, fera beaucoup plus d'éclairage sur ce point précis. Mais je peux rassurer que tout est mis en œuvre pour que tout se déroule bien. La cérémonie est placée sous le haut patronage du président Henri Konan Bédié, président du Pdci-Rda, sous le co-parrainage du maire de Dabou, Albert Kakou Tiapani et du maire de Djékanou, Abdoulaye Diallo. Le ministre de la Communication, M. Ibrahim Sy Savané, est aussi invité.
On annonce des échanges entre le personnel et la direction du Journal. Concrètement que recouvre ce terme " échanges " ?
Je voudrais laisser le soin au Directeur général du groupe " Le Réveil " de donner beaucoup plus de détails sur cette question. Mais en tant que président du comité d'organisation du séminaire, il s'agit pour nous de voir à quel niveau nous en sommes, comment les choses vont se passer et si nous sommes prêts. Toutefois, je pense que ces échanges seront l'occasion où les travailleurs vont s'exprimer et le Directeur général, en tant que premier responsable du Groupe, va dire l'orientation, la politique générale qu'il entend donner au groupe après le séminaire. Ces échanges permettront de corriger un certain nombre de choses pour aller de l'avant, pour gravir d'autres marches de l'escalier.
Des résolutions sont attendues, quelle suite sera donnée à ces recommandations et résolutions ?
Je renvoie cette question une fois de plus au Directeur général, premier responsable du Groupe. Les résolutions sont internes. Nous voulons être un journal d'excellence, nous voulons nous parfaire en tant que journalistes, dans le métier que nous savons faire. Et compte tenu de la situation, il y a un certain nombre de dispositions à prendre. Il est donc bon que nous allions en séminaire. J'invite les uns et les autres à respecter les consignes que nous allons donner. Tout en remerciant tous les invités et les confrères qui viendront, je voudrais souhaiter bon séminaire à tout le monde.
Interview réalisée par
Diarrassouba Sory
M. Patrice Yao, vous êtes le président du Comité d'organisation du séminaire du groupe " Le Réveil ". Après le rendez-vous manqué d'il y a un mois, confirmez-vous la tenue dudit séminaire ce week-end comme annoncé ?
Je voudrais d'entrée remercier toutes les personnalités, tous les invités, les panélistes et les travailleurs du groupe " Le Réveil " et en même temps leur présenter toutes nos excuses pour les désagréments que le report a dû causer. C'était un report indépendant de notre volonté, puisque tout le monde se souvient que nous devions faire ce séminaire à la fin du mois d'octobre, mais nous avons fait l'objet d'agression de la part des étudiants de l'Unesci. On a donc décalé le séminaire pour les 21 et 22 novembre 2009, c'est-à-dire samedi et dimanche prochains au complexe Akparo à Dabou. Entre-temps, nous avons géré cette crise consécutive à la descente musclée de l'Unesci dans nos locaux. Je rappelle que toutes les personnalités que nous avions invitées seront là, tout le monde a confirmé sa présence. Tout est mis en œuvre pour que le séminaire se déroule dans de bonnes conditions. Nous confirmons donc le séminaire pour les 21 et 22 novembre 2009.
Il y a eu un report. Ce changement de date n'a-t-il pas eu une répercussion sur le programme du séminaire ? Les séminaristes auront-ils droit à la formation qui avait été annoncée?
Oui, la formation se fera. Il y a eu juste un décalage de temps. On a dû reporter pour des raisons que je viens d'évoquer. Il n'y a vraiment pas de raison que nous ne fassions pas la formation. Le contenu du séminaire reste le même. Nous sommes dans une période électorale. En tant que journalistes et travailleurs d'un groupe de presse, nous avons besoin d'une remise à niveau et d'un renforcement des capacités avec des spécialistes et certaines personnalités politiques. Le thème principal est le suivant : " Quel journalisme en période électorale ? Le cas de la Côte d'Ivoire ". C'est un thème enrichissant quand on connait les difficultés que vit notre pays depuis 2002. Le panéliste du sous-thème qui en découle est M. Zio Moussa, président de l'Olped (Observatoire de la liberté de la presse de l'éthique et de la déontologie). Ce journaliste émérite prononcera donc la conférence inaugurale sur le thème : " Journaliste professionnel en période électorale : quelles attentes ? ". Ce thème, je le répète est d'à-propos compte tenu de la situation que nous traversons. Me Bourgoin, secrétaire général du Conseil national de la presse (Cnp), animera un autre sous-thème à savoir : " Le respect de l'éthique, de la déontologie et de la mise en œuvre de la plate-forme de collaboration Cei-presse ". " Animation et cohabitation de deux rédactions et exploitation des Ntic en période électorale " va être animé par M. Charles Diagne, journaliste, enseignant, secrétaire de rédaction. Fabrice Sawegnon, directeur général de Voodoo Communication, développera le sous-thème : " Le groupe de presse " Le Réveil " : quelles stratégies de marketing et quelle politique commerciale en période électorale ? ". M. Marius Comoé, président des Associations des consommateurs actifs de Côte d'Ivoire (Facaci), animera le sous-thème : " Le regard des consommateurs actifs de Côte d'Ivoire ". Enfin, il y a des points politiques qui seront abordés. Il y aura donc, une rencontre entre le personnel du groupe " Le Réveil " et la direction du Pdci-Rda. Le Directeur général, M Denis Kah Zion, à l'occasion, fera beaucoup plus d'éclairage sur ce point précis. Mais je peux rassurer que tout est mis en œuvre pour que tout se déroule bien. La cérémonie est placée sous le haut patronage du président Henri Konan Bédié, président du Pdci-Rda, sous le co-parrainage du maire de Dabou, Albert Kakou Tiapani et du maire de Djékanou, Abdoulaye Diallo. Le ministre de la Communication, M. Ibrahim Sy Savané, est aussi invité.
On annonce des échanges entre le personnel et la direction du Journal. Concrètement que recouvre ce terme " échanges " ?
Je voudrais laisser le soin au Directeur général du groupe " Le Réveil " de donner beaucoup plus de détails sur cette question. Mais en tant que président du comité d'organisation du séminaire, il s'agit pour nous de voir à quel niveau nous en sommes, comment les choses vont se passer et si nous sommes prêts. Toutefois, je pense que ces échanges seront l'occasion où les travailleurs vont s'exprimer et le Directeur général, en tant que premier responsable du Groupe, va dire l'orientation, la politique générale qu'il entend donner au groupe après le séminaire. Ces échanges permettront de corriger un certain nombre de choses pour aller de l'avant, pour gravir d'autres marches de l'escalier.
Des résolutions sont attendues, quelle suite sera donnée à ces recommandations et résolutions ?
Je renvoie cette question une fois de plus au Directeur général, premier responsable du Groupe. Les résolutions sont internes. Nous voulons être un journal d'excellence, nous voulons nous parfaire en tant que journalistes, dans le métier que nous savons faire. Et compte tenu de la situation, il y a un certain nombre de dispositions à prendre. Il est donc bon que nous allions en séminaire. J'invite les uns et les autres à respecter les consignes que nous allons donner. Tout en remerciant tous les invités et les confrères qui viendront, je voudrais souhaiter bon séminaire à tout le monde.
Interview réalisée par
Diarrassouba Sory