Le ministère de la Construction et de l'urbanisme a lancé une campagne de sensibilisation contre les occupations illicites des bas-fonds hier mardi 24 novembre.
Les zones d'écoulement naturel des eaux de pluie font objet d'exploitation par les particuliers, ce pour y réaliser divers ouvrages. Face à cette situation qui prend des proportions inquiétantes, le directeur général de l'urbanisme et du foncier, Allogba Kodja et d'autres directeurs techniques, ont conduit la presse sur le terrain pour faire le constat. Le but de cette opération, selon Allogba Kodja, est de sensibiliser les populations par le truchement des médias. Car, a-t-il prévenu, il s'en suivra une opération de démolition qui est l'expression de l'autorité de l'Etat. Le premier site visité est situé au nord de la Cité Guiby à Angré, dans la commune de Cocody. Ce site est un canal naturel d'écoulement des eaux de ruissellement, qui se prolonge jusqu'à la Lagune Ebrié. Dans ce bas-fonds, plusieurs maisons sont en constructions avec, par endroits, des essais de remblayage qui font visiblement obstacle à l'écoulement des eaux.
Faisant allusion à ces constructions, le directeur général de l'urbanisme et du foncier a expliqué que toute opération de cette nature nécessite, entre autres, un plan de lotissement qui doit être soumis à l'appréciation du ministère de la Construction et de l'urbanisme. Et que dans le cas échéant, il n'est pas question d'une quelconque autorisation, car la zone en question n'est pas habitable. C'est pourquoi, il en a déduit que ce sont des cas d'occupation illicite. Le second site retenu pour la circonstance est un bassin d'orage situé à la Riviera Palmeraie. Cet autre espace protégé, relevant du domaine public, est en train d'être réduit par des occupants. Allogba Kodja a précisé que ce dernier bassin a été aménagé suite à une grande inondation qui a causé de gros dégâts. Avec ces actions qui sont en train d'être menées, il va sans dire que ces riverains vont mettre en cause la sécurité des habitations environnantes en période de grandes pluies. Jusque-là, le ministère a réussi à faire cesser les différents travaux dans ces zones protégées, en attendant de passer à la phase active, a-t-il averti.
K J (stg)
Les zones d'écoulement naturel des eaux de pluie font objet d'exploitation par les particuliers, ce pour y réaliser divers ouvrages. Face à cette situation qui prend des proportions inquiétantes, le directeur général de l'urbanisme et du foncier, Allogba Kodja et d'autres directeurs techniques, ont conduit la presse sur le terrain pour faire le constat. Le but de cette opération, selon Allogba Kodja, est de sensibiliser les populations par le truchement des médias. Car, a-t-il prévenu, il s'en suivra une opération de démolition qui est l'expression de l'autorité de l'Etat. Le premier site visité est situé au nord de la Cité Guiby à Angré, dans la commune de Cocody. Ce site est un canal naturel d'écoulement des eaux de ruissellement, qui se prolonge jusqu'à la Lagune Ebrié. Dans ce bas-fonds, plusieurs maisons sont en constructions avec, par endroits, des essais de remblayage qui font visiblement obstacle à l'écoulement des eaux.
Faisant allusion à ces constructions, le directeur général de l'urbanisme et du foncier a expliqué que toute opération de cette nature nécessite, entre autres, un plan de lotissement qui doit être soumis à l'appréciation du ministère de la Construction et de l'urbanisme. Et que dans le cas échéant, il n'est pas question d'une quelconque autorisation, car la zone en question n'est pas habitable. C'est pourquoi, il en a déduit que ce sont des cas d'occupation illicite. Le second site retenu pour la circonstance est un bassin d'orage situé à la Riviera Palmeraie. Cet autre espace protégé, relevant du domaine public, est en train d'être réduit par des occupants. Allogba Kodja a précisé que ce dernier bassin a été aménagé suite à une grande inondation qui a causé de gros dégâts. Avec ces actions qui sont en train d'être menées, il va sans dire que ces riverains vont mettre en cause la sécurité des habitations environnantes en période de grandes pluies. Jusque-là, le ministère a réussi à faire cesser les différents travaux dans ces zones protégées, en attendant de passer à la phase active, a-t-il averti.
K J (stg)
