Au moment où il est de plus en plus question de l'octroi du Fonds de garantie aux transporteurs de Côte d'Ivoire par l'Etat, ce secteur a besoin de sortir de l'informel.
Nous avons été témoins des faits, vendredi dernier au siège de l'Union du patronat des transporteurs de Côte d'Ivoire (Upt-CI), sis à Adjamé. C'était au cours d'une visite du bureau exécutif du Comité d'organisation et de promotion de l'excellence des transporteurs de Côte d'Ivoire (Copext-Ci). Plus de quinze structures des transports routiers était en pleine réunion. Selon les différents responsables des transporteurs rencontrés sur place, cette réunion n'est pas la première du genre. A les en croire, ils ont décidé de se mettre ensemble au sein d'un cadre formel, "afin d'avoir un seul interlocuteur devant les autorités compétentes". Ce travail se fait dans la discrétion totale. Plus question de tenir des discours creux du genre : "sans le transport l'économie n'existe que de nom dans un pays. Le transport est le secteur vital de tout développement économique". Cela doit se concrétiser par des faits et gestes. C'est pourquoi, au sortir de ces différentes rencontres, qui sont en quelque sorte des travaux, les transporteurs seront dotés d'un statut, base de leurs engagements. Le moins qu'on puisse dire, c'est que les transporteurs ont décidé de sortir de l'informel. Pour asseoir un cadre légalement constitué. C'est à ce prix que, selon les initiateurs, leurs préoccupations seront prises en compte par les autorités. Comme on le voit, une nouvelle ère verra le jour bientôt dans le milieu des transports en Côte d'Ivoire. Si pour le Comité d'organisation et de promotion de l'excellence des transports en Côte d'Ivoire (Copext-CI), "l'heure a sonné pour la reconnaissance et la célébration de tous les opérateurs qui se sont investis dans le transport en Côte d'Ivoire", il n'en demeure pas moins que les acteurs visent la redynamisation de leur secteur d'activités. Le chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, faut-il le rappeler, par ailleurs président de la commission de la Cedeao et de l'Uemoa pour le développement des infrastructures régionales en matière des Transports, a un défi à relever vis-à-vis de ses pairs de la Cedeao. Il est donc important que le transport en Côte d'Ivoire présente un visage reluisant.
Sériba Koné
seriba67@yahoo.fr
Nous avons été témoins des faits, vendredi dernier au siège de l'Union du patronat des transporteurs de Côte d'Ivoire (Upt-CI), sis à Adjamé. C'était au cours d'une visite du bureau exécutif du Comité d'organisation et de promotion de l'excellence des transporteurs de Côte d'Ivoire (Copext-Ci). Plus de quinze structures des transports routiers était en pleine réunion. Selon les différents responsables des transporteurs rencontrés sur place, cette réunion n'est pas la première du genre. A les en croire, ils ont décidé de se mettre ensemble au sein d'un cadre formel, "afin d'avoir un seul interlocuteur devant les autorités compétentes". Ce travail se fait dans la discrétion totale. Plus question de tenir des discours creux du genre : "sans le transport l'économie n'existe que de nom dans un pays. Le transport est le secteur vital de tout développement économique". Cela doit se concrétiser par des faits et gestes. C'est pourquoi, au sortir de ces différentes rencontres, qui sont en quelque sorte des travaux, les transporteurs seront dotés d'un statut, base de leurs engagements. Le moins qu'on puisse dire, c'est que les transporteurs ont décidé de sortir de l'informel. Pour asseoir un cadre légalement constitué. C'est à ce prix que, selon les initiateurs, leurs préoccupations seront prises en compte par les autorités. Comme on le voit, une nouvelle ère verra le jour bientôt dans le milieu des transports en Côte d'Ivoire. Si pour le Comité d'organisation et de promotion de l'excellence des transports en Côte d'Ivoire (Copext-CI), "l'heure a sonné pour la reconnaissance et la célébration de tous les opérateurs qui se sont investis dans le transport en Côte d'Ivoire", il n'en demeure pas moins que les acteurs visent la redynamisation de leur secteur d'activités. Le chef de l'Etat, Laurent Gbagbo, faut-il le rappeler, par ailleurs président de la commission de la Cedeao et de l'Uemoa pour le développement des infrastructures régionales en matière des Transports, a un défi à relever vis-à-vis de ses pairs de la Cedeao. Il est donc important que le transport en Côte d'Ivoire présente un visage reluisant.
Sériba Koné
seriba67@yahoo.fr