Emporté par l'envie du pouvoir, Ouattara confond tout. Pourvu que ça lui offre le pouvoir.
Par le passé, il a fait des tours à l'église. Mais, une fois en Côte d'Ivoire, lorsqu'il a découvert le vivrier électoral que constituaient les musulmans, il s'est dit musulman. Sans gêne. On ne sait pas quand s'est faite sa reconversion, on ne l'a jamais aussi vu faire le pèlerinage à la Mecque malgré son immense fortune qu'il prend plaisir à vanter. En fait c'est tout ça, l'homme Ouattara. Un personnage qui pourrait même être une énigme pour Freud. La morale et l'éthique ? Ce ne sont pas ses tasses de thé. Il veut le pouvoir à tous les coups, et par tous les moyens. C'est pourquoi, il peut sans se gêner, renier ses origines burkinabè et se trouver un village à Kong. Aujourd’hui, ce n’est plus un Ivoirien qui l’accuse d’être Burkinabè. Mais bien un Malien, de surcroît chauffeur d’Houphouët-Boigny. Un homme qui n’a rien à avoir avec la politique ivoirienne. Donc, qui n’a rien à gagner ici. Pour le pouvoir, Ouattara peut se permettre de faire une guerre sanglante à la Côte d'Ivoire, en pensant atteindre rapidement le sommet. L'homme est un politicien d'un autre genre. Adepte de la violence. Ce qui tranche avec la culture de paix des Ivoiriens. Ben Soumahoro a donc raison de dire qu'il n'est pas inscrit dans l'histoire de la Côte d'Ivoire. Ça, le champion du Rdr le sait. Mais comme dans la vie, le destin se forge le plus souvent, il a voulu forcer le sien. En endeuillant la Côte d'Ivoire. Pour lui, le plus important c'est d'être président. Le reste n'est pas important. Il ne porte aucun idéal, aucune vision politique. Il fait du surplace, du bricolage. La meute des militants nourris au discours tribal, sont prêts à applaudir ses absurdités. C'est même pour cette raison, qu'il peut copier maladroitement le programme du Fpi et dire que c'est lui qui est plagié. C'est aussi pourquoi, Ouattara se permet d'annoncer des milliards de Fcfa partout où il passe. Le ridicule ne tue pas. C'est même pourquoi, à Odiénné, devant une foule presqu'affamée, il dit ceci. " Si je suis élu, je vais bitumer la route Odiénné-Gbélégban, mais avec mon propre argent ". Et personne n'est capable de lui rétorquer ; pourquoi attendre d'être au pouvoir avant de bitumer la route qui va chez maman, si tant est que c'est ton propre argent. C'était en 2000. Et à cette époque, ce serait trop demander aux militants du Rdr. D'ailleurs, en ce moment, on pourrait assimilé un tel acte à un suicide. Aujourd'hui, les temps ont changé. Certains militants et pas des moindres, se sont rendus à l'évidence qu'ils ont eu affaire à un " vendeur d'illusion ". Ouattara, le musulman qui dit rarement le nom de Dieu, n'est même plus un mythe. Et comme un sort qui s'abat sur lui, toute son image s'effrite au fil des jours. Après bien d'autres déboires, il vient d'être enfoncé par le vieux Kalilou. Un homme qui, pendant 40 ans, a été dans le quotidien d'Houphouët-Boigny et de Ouattara aussi. C'est donc quelqu'un qui est censé les connaître tous deux. Depuis sa retraite malienne, l'ex-chauffeur du “Vieux”, a parlé aux Ivoiriens. Sûrement que l'homme sait par quelle gymnastique, Ouattara a atterri dans le jeu politique. Il ne le dit pas, et il ne peut pas lui dire de quitter la scène politique. Mais c'est tout comme. Même les mots sont choisis. "Alassane ne mérite pas de passer". Pas qu'il ne peut pas gagner. Mais parce qu'il n'est pas digne d'accéder à un trône sur lequel a régné durant plusieurs décennies, le "Bélier de Yamoussoukro." Le “bravetchè” se plaît à se dire Houphouétiste. Une pure hypocrisie politique. En dessous, il actionne des campagnes anti-Houphouët. Relisez les Faux complots de Samba Diarra, un proche parmi les proches du “bravetchè”. Houphouët-Boigny y est dépeint comme un vil dictateur qui, durant toute sa carrière, a haï le Nord et ses cadres.
Guéhi Brence
gb08301660@yahoo.fr
Par le passé, il a fait des tours à l'église. Mais, une fois en Côte d'Ivoire, lorsqu'il a découvert le vivrier électoral que constituaient les musulmans, il s'est dit musulman. Sans gêne. On ne sait pas quand s'est faite sa reconversion, on ne l'a jamais aussi vu faire le pèlerinage à la Mecque malgré son immense fortune qu'il prend plaisir à vanter. En fait c'est tout ça, l'homme Ouattara. Un personnage qui pourrait même être une énigme pour Freud. La morale et l'éthique ? Ce ne sont pas ses tasses de thé. Il veut le pouvoir à tous les coups, et par tous les moyens. C'est pourquoi, il peut sans se gêner, renier ses origines burkinabè et se trouver un village à Kong. Aujourd’hui, ce n’est plus un Ivoirien qui l’accuse d’être Burkinabè. Mais bien un Malien, de surcroît chauffeur d’Houphouët-Boigny. Un homme qui n’a rien à avoir avec la politique ivoirienne. Donc, qui n’a rien à gagner ici. Pour le pouvoir, Ouattara peut se permettre de faire une guerre sanglante à la Côte d'Ivoire, en pensant atteindre rapidement le sommet. L'homme est un politicien d'un autre genre. Adepte de la violence. Ce qui tranche avec la culture de paix des Ivoiriens. Ben Soumahoro a donc raison de dire qu'il n'est pas inscrit dans l'histoire de la Côte d'Ivoire. Ça, le champion du Rdr le sait. Mais comme dans la vie, le destin se forge le plus souvent, il a voulu forcer le sien. En endeuillant la Côte d'Ivoire. Pour lui, le plus important c'est d'être président. Le reste n'est pas important. Il ne porte aucun idéal, aucune vision politique. Il fait du surplace, du bricolage. La meute des militants nourris au discours tribal, sont prêts à applaudir ses absurdités. C'est même pour cette raison, qu'il peut copier maladroitement le programme du Fpi et dire que c'est lui qui est plagié. C'est aussi pourquoi, Ouattara se permet d'annoncer des milliards de Fcfa partout où il passe. Le ridicule ne tue pas. C'est même pourquoi, à Odiénné, devant une foule presqu'affamée, il dit ceci. " Si je suis élu, je vais bitumer la route Odiénné-Gbélégban, mais avec mon propre argent ". Et personne n'est capable de lui rétorquer ; pourquoi attendre d'être au pouvoir avant de bitumer la route qui va chez maman, si tant est que c'est ton propre argent. C'était en 2000. Et à cette époque, ce serait trop demander aux militants du Rdr. D'ailleurs, en ce moment, on pourrait assimilé un tel acte à un suicide. Aujourd'hui, les temps ont changé. Certains militants et pas des moindres, se sont rendus à l'évidence qu'ils ont eu affaire à un " vendeur d'illusion ". Ouattara, le musulman qui dit rarement le nom de Dieu, n'est même plus un mythe. Et comme un sort qui s'abat sur lui, toute son image s'effrite au fil des jours. Après bien d'autres déboires, il vient d'être enfoncé par le vieux Kalilou. Un homme qui, pendant 40 ans, a été dans le quotidien d'Houphouët-Boigny et de Ouattara aussi. C'est donc quelqu'un qui est censé les connaître tous deux. Depuis sa retraite malienne, l'ex-chauffeur du “Vieux”, a parlé aux Ivoiriens. Sûrement que l'homme sait par quelle gymnastique, Ouattara a atterri dans le jeu politique. Il ne le dit pas, et il ne peut pas lui dire de quitter la scène politique. Mais c'est tout comme. Même les mots sont choisis. "Alassane ne mérite pas de passer". Pas qu'il ne peut pas gagner. Mais parce qu'il n'est pas digne d'accéder à un trône sur lequel a régné durant plusieurs décennies, le "Bélier de Yamoussoukro." Le “bravetchè” se plaît à se dire Houphouétiste. Une pure hypocrisie politique. En dessous, il actionne des campagnes anti-Houphouët. Relisez les Faux complots de Samba Diarra, un proche parmi les proches du “bravetchè”. Houphouët-Boigny y est dépeint comme un vil dictateur qui, durant toute sa carrière, a haï le Nord et ses cadres.
Guéhi Brence
gb08301660@yahoo.fr