A l'occasion du 2000e numéro du journal Le Temps, je voudrais saluer tous ses responsables, journalistes et animateurs. Le Temps, c'est trois mots : engagement, célérité et ouverture. Ce quotidien a réussi en quelques années à s'imposer sur le marché comme l'un des quotidiens les plus prisés sur notre territoire. Cette prouesse est liée à la fougue et à la passion de ses journalistes qui, malgré les menaces et les pressions de toutes sortes, sont restés fidèles à leur ligne éditoriale qui est de défendre la souveraineté et la dignité de la Côte d'Ivoire et de combattre toutes les forces liberticides et de désordre. L'analyse, l'argumentation et la critique constructive...voici le crédo de Le Temps. Critiquer, dénoncer, contredire oui, injurier, calomnier, dénigrer non ! En sus, c'est surement le seul quotidien ivoirien qui a réservé une page entière à tout lecteur qui souhaite faire une contribution. C'est de cette façon que j'ai pu de temps en temps, participer aux débats politiques et souvent littéraires de notre pays. Grâce au Temps des idées, j'ai été adopté par de nombreux lecteurs et je me sens un homme de la maison. En bref, je voudrais saluer Patrice Douh, Simplice Allard , Tché Bi Tché, Frimo et tous les autres journalistes pour le travail colossal qu'ils ont abattu en faveur de la construction de l'édifice Ivoire. Qu'ils continuent d'étancher notre soif de vérité et de liberté ! Difficile pari certes...mais c'est le plus difficile qui est le chemin. Je leur souhaite le meilleur !
Etty Macaire, professeur
de lettres
Etty Macaire, professeur
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