Le maire de la commune de Yopougon n'est pas content des agissements de la Police dans sa commune. C'est ce qu'ont révélé les agents de la mairie de Yopougon dans la nuit du mardi 22 décembre 2009. La colère du premier magistrat de cette commune s'explique par le fait que ces éléments commis à la sécurisation des populations et de leurs biens, s'en prennent à ses agents, chaque fois ces derniers sont en train de faire leur travail. Les faits du mardi dernier en sont de trop, pour l'homme. Alors qu'ils étaient en mission de contrôle de routine de la patente, Tibé Aima, Séka Kambo Edy et Bouazo Georges ont été violentés par la police et mis au violon, au Commissariat du 17e Arrondissement à Yopougon-Niangon. " C'est à la suite d'un coup de fil d'une dame qui devait deux mois d'arriéré de patente (Octobre-novembre), au Commissaire du district de Youpogon, que nous avons été envahi par des éléments de la police. Ils sont venus à bord de six (6) véhicules de type 4x4. Ils nous ont violentés avec la matraque électrique. Par la suite, ils nous ont conduits directement au 17e arrondissement. Où nous avons été gardés au violon, de 11h. C'est à 16h sous la pression certaine du maire Gbamnan Djidan Jean-Félicien, qu'ils nous ont entendus. Et il a fallu qu'un adjoint au maire se présente dans ce Commissariat, pour que nous soyons libérés aux alentours de 18h ", a expliqué un des trois agents victimes.
Qui ont dit poser plainte contre leurs bourreaux, pour coups et blessures. " Ce n'est pas la première fois que les agents de la mairie de Yopougon sont victimes ses barbaries des policiers.
Et le maire n'est du tout d'accord avec cela. D'ailleurs, il menace de ne plus assister la police dans sa commune ", a confié le conférencier.
F. Koukou
Qui ont dit poser plainte contre leurs bourreaux, pour coups et blessures. " Ce n'est pas la première fois que les agents de la mairie de Yopougon sont victimes ses barbaries des policiers.
Et le maire n'est du tout d'accord avec cela. D'ailleurs, il menace de ne plus assister la police dans sa commune ", a confié le conférencier.
F. Koukou