Après sa deuxième place derrière Bachirou Konté à la Course contre la montre en individuel à Mama (Gagnoa), Eugène Lokossué espérait encore décrocher la couronne à Yamoussoukro, à condition de réussir une course parfaite à la deuxième étape entre Gagnoa et Sinfra.
Malheureusement pour le sociétaire de l’ASFA Moossou, les cinq secondes d’écart entre lui et son partenaire Bachirou vont s’accroître en raison d’une chute. Cette chute, Lokossué l’explique difficilement, mais l’écart avec le maillot de leader va passer à cinq minutes. Jusqu’à la 6è étape dans la capitale politique ivoirienne, l’international ivoirien ne parviendra jamais à refaire son retard. Même son objectif de décrocher au moins une étape sur le Tour ne sera pas atteint. Entre Bouaflé et Yamoussoukro, il a dû très tôt levé les bras pour savourer un succès, qui malheureusement n’était pas le bon. Loin de se décourager, Lokossué pense que le succès ne lui n’était pas destiné. «Le plus important est que l’un des nôtres ait remporté la compétition. Nous avons couru de sorte à protéger le maillot de Bachirou et nous sommes tous parvenus à ce résultat. Ce qui est le plus important », assure Lokossué. Après une année internationale très chargée avec de nombreuses courses sur le continent ainsi qu’un stage international en Afrique du Sud, Lokossué pense pouvoir prendre un temps de repos avant de repartir dès janvier à l’assaut de l’Afrique.
Alexis Adélé
Malheureusement pour le sociétaire de l’ASFA Moossou, les cinq secondes d’écart entre lui et son partenaire Bachirou vont s’accroître en raison d’une chute. Cette chute, Lokossué l’explique difficilement, mais l’écart avec le maillot de leader va passer à cinq minutes. Jusqu’à la 6è étape dans la capitale politique ivoirienne, l’international ivoirien ne parviendra jamais à refaire son retard. Même son objectif de décrocher au moins une étape sur le Tour ne sera pas atteint. Entre Bouaflé et Yamoussoukro, il a dû très tôt levé les bras pour savourer un succès, qui malheureusement n’était pas le bon. Loin de se décourager, Lokossué pense que le succès ne lui n’était pas destiné. «Le plus important est que l’un des nôtres ait remporté la compétition. Nous avons couru de sorte à protéger le maillot de Bachirou et nous sommes tous parvenus à ce résultat. Ce qui est le plus important », assure Lokossué. Après une année internationale très chargée avec de nombreuses courses sur le continent ainsi qu’un stage international en Afrique du Sud, Lokossué pense pouvoir prendre un temps de repos avant de repartir dès janvier à l’assaut de l’Afrique.
Alexis Adélé
